AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-20%
Le deal à ne pas rater :
-20% Récupérateur à eau mural 300 litres (Anthracite)
79 € 99 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Azil Azuro
Azil Azuro
garden

Féminin Age : 28
Messages : 704
Inscription le : 30/12/2011


Carte d'étudiant
Scolarité/Age: 2ème • 17 ans
Pouvoir(s):
Club: Théâtre

WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro] Vide
MessageSujet: WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro]   WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro] Icon_minitimeVen 30 Déc - 16:52


le petit oiseau va sortir ~
feat - Ariel / The little mermaid
WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro] 048eu10
• NOM Azuro
• PRÉNOM Azil
• AGE 17 ans
• CIVILITÉ Célibataire Foetus appartenant à Cherry
• SCOLARITÉ 2ème
• SEXUALITÉ Hétéro. On se pose pas de questions.
• GROUPE Garden's key
• POUVOIR Aurification
ma poire belle Hélène Azil, charogne
« salade de fruits jolie jolie jolie ♪ »

Elle est passée à côté de toi, serrant dans ses bras maigres un classeur rose, son sac à l’épaule. Tu n’as pas vu son visage, tu as juste eu le temps d’apercevoir des mèches rouges à tes côtés. Tu t’es demandé si c’était normal, si tu n’avais pas rêvé. Alors, tu t’es retourné pour l’observer. Des cheveux rouges, bouclés, qui descendent souplement dans son dos. Et un déhanché à en faire pâlir plus d’un. Elle est là, le dos tourné. Elle est toute mince, tout fine. Elle n’est pas grande. Tu la mesures approximativement, à l’œil nu. Tu passes pour un pervers, mais tu t’en fous. Ce qui t’importe, c’est de savoir sa taille. Environ un mètre soixante. Soixante-deux, au pire. Elle n’est pas si grande que ça. Mais tu continues de penser qu’elle doit être belle.

Tu remarques son style vestimentaire, sa manière d’associer des couleurs que l’on ne mettrait pas ensemble. Elle porte un slim d’une couleur… Orange. Au-dessus, un pull large qui tombe du côté de son épaule droite. Un pull vert. Tu observes la forme de son épaule. Comme une peinture. On dirait presque qu’elle a été faite minutieusement… Quelque chose t’échappe. Une cicatrice, longue balafre rougeâtre. Ce que tu ne sais pas, c’est que son corps est couvert de ces marques. Tu ne préfèrerais pas le savoir. Elle leva la main, le temps de remettre une mèche gênante derrière son épaule. A ses poignets teintent des bracelets et autres breloques.

Quelqu’un l’appelle, elle se retourne. Ses yeux. Tu les vois, à cause du maquillage noir finement dessiné sous ses yeux. Deux iris bleus, renforcés par la pâleur laiteuse de sa peau. Un de ces bleus qui n’a rien à envier à la couleur de la mer sur les côtes des îles paradisiaques. Ca t’impressionne. Les yeux bleus, ce n’est pas courant. Ce que tu ne sais pas encore, c’est qu’elle le tient de sa mère qui elle-même les tiens de sa mère. Héritage. Elle sourit à la personne devant elle, se met à parler. Ses lèvres forment des mouvements que ton pauvre cœur ne supporte pas. C’est si agréable de la voir sourire. Elle bat des cils un moment, la mine déconfite. Apparemment, la personne lui a dit quelque chose qu’elle ne comprend pas. Elle se remet à sourire. Sur ses doigts, tu constates un vernis rouge grenadine. Sa couleur préférée.

Maintenant, si l’on te montrait une photo de l’ancienne Azil, tu ne la reconnaîtrais pas, tu penserais même que l’on se fout de ta gueule. Avant, elle avait des cheveux noirs informes, souvent sales et constamment attachés. Ses yeux bleus qui te plaisent tant étaient invisibles au-dessus de son nez à cause du manque de mise en valeur. D’ailleurs, la seule chose que l’on remarquait sur sa peau laiteuse, ce n’était que ses cernes mauves, ancrées dans sa peau comme ses cicatrices striant sa peau. Elle ne savait pas s’habiller et ne mettait que les vêtements dégueulasses qu’elle recevait de son cousin. Ses chaussures appartenaient à son père, d’ailleurs. Les seuls beaux vêtements qu’elle avait été ceux qu’elle gagnait en vendant ses créations. Ce sont ceux là qu’elle a pris d’ailleurs, pour Aomori. Azil n’était, et ce sans exagération, absolument pas belle.

Tu aurais du mal à le croire.

Une nouvelle passe à tes côtés. Tu détournes les yeux pour suivre cette belle inconnue. Tu as déjà oublié Azil.
mylife.com
« ôtons nos masques le temps d'un instant »

Tout comme son physique, la psychologie d’Azil a, elle aussi, évoluée. Grandement. Elle qui était si timide avant, elle s’ouvre un peu plus au monde extérieur, un peu comme une huître caressée et bercée par les mouvements de la mer. Sauf que voilà, elle reste de nature méfiante et se referme aussitôt sur elle-même quand on avance un peu trop sa main vers ce passé qu’elle tente de noyer et d’enterrer. Il faudra beaucoup de temps, de patience, de douceur, de confiance et de sécurité pour parvenir à l’ouvrir complètement. Oh, elle hésitera un peu, repoussera le moment fatidique, se posera énormément de questions sur le coup, reviendra en arrière, inspirera une bonne fois pour toute avant de se lancer pieds et poings liés dans l’avalanche des confidences. Elle hésite souvent, aussi a-t-elle continuellement besoin de quelqu’un sur qui s’appuyer et à qui poser des questions.

Les seules questions qu’elle ne pose pas concernent les bricolages qu’elle passe son temps à faire. Elle pourrait rester des heures au-dessus d’un masque, des gants en latex autour des doigts, la lampe de bureau penchée au maximum sur son œuvre et tout ça rien que pour coller quelques plumes et des paillettes. Azil est devenue fan des masques et essaie vainement d’en reproduire des semblables à ceux du carnaval de Venise. Bricoler est – et ce depuis toujours – la seule manière de calmer Azil. On raconte même qu’elle crée des bijoux gourmands en pâte fimo et d’autres plus classiques en perles pour ensuite les vendre aux étudiantes dans le but d’arrondir ses fins de mois et de continuer ses bricolages. Ce n’est pas bien, mais c’est toujours mieux que de vendre son corps.

Si Azil réussit si bien dans le bricolage, c’est surtout à cause de son côté maniaque qu’elle tient de sa grand-mère. Aussi chaque chose doit être rangée à sa place. Elle classe ses livres par ordre de grandeur – parce que par l’alphabétique, c’est long -, range ses perles et autres matériaux en fonction des couleurs et des formes et plie ses vêtements correctement deux à trois fois par semaine. N’importe qui penserait qu’elle est folle mais pour elle, c’est le seul moyen de se sauver d’une neurasthénie naissante. Non pas qu’elle regrette le fait d’être partie de chez elle comme une voleuse mais il lui arrive parfois d’avoir un coup de mou et de rester assise sur son lit, les genoux automatiquement repliés sur sa poitrine alors que ses yeux ne rencontrent que du vide. Elle pourrait rester dans cette position pour un temps indéterminé. Cela pourrait varier de quelques minutes à une heure, tout au plus.

En dehors de ses crises passagères, Azil reste une jeune personne d’un naturel optimiste, confondant nuages sombres avec beau temps. Pour elle, tout est beau à Aomori et rien ne peut troubler sa décision. Vu sous cet angle, Azil ne semble pas avoir de problèmes particuliers. Comme quoi les apparences et les sourires trompent. Azil a peur. Elle sursaute au moindre claquement de portière, manque de s’évanouir quand quelqu’un marche en frappant trop fort des pieds dans les escaliers et entendre le bruit des cravaches près des écuries la fait frémir d’horreur. Pourtant, toutes ces petites choses sont étroitement liées et ne se rapportent qu’à une seule personne : son père.

Sauf qu’Azil est nettement moins docile qu’avant, elle peut même être qualifiée d’indomptable. Personne n’est en mesure de l’obliger à faire une chose qu’elle n’a pas envie d’effectuer. Pour elle, non, c’est non. Ou alors, c’est peut-être, elle juge en fonction de la personne. Azil ressent le besoin de tester de nouvelles choses et d’apprendre ce qu’elle ne sait pas. Un peu comme en chimie, quand il faut faire toutes sortes de mélanges pour voir. Azil fait pareil.

Azil peut avoir l’air fragile comme une brebis mais il lui arrive de mordre. Comme le Grand Méchant Loup !

PÈRE CASTOR ♪
« il est temps d'arrêter le temps »

« C’est de l’or véritable ? »
« Oui. »

L’antiquaire tourne et retourne l’objet dans sa main, avec une lenteur à en faire pâlir un escargot. Une lenteur calculée, presque mesurée au moindre centième de seconde. Il inspecte les détails minutieusement, un par un. Azil cache son embarra, regarde à droite, à gauche. Elle se détourne et observe la rue. Faites qu’elle ne le voie pas. Faites qu’elle ne le voie pas. Comme une litanie qui l’insupporte. Elle jette un regard tourmenté vers sa montre rouge. Il doit encore dormir. Certainement. La dose infligée l’occuperait pendant une journée. Peut-être une nuit. Il lui faudrait ensuite plus de deux minutes pour sortir de son état comateux. Plus d’une dizaine de minutes pour l’appeler. Plus d’une demi-heure pour ne pas la voir arriver. Plus d’une heure pour comprendre qu’elle n’était plus là. Et une dizaine de secondes pour gronder et sortir en courant de la maison. Il prendrait la voiture, s’énerverait sur la clef qu’il aurait du mal à rentrer dans le contact, la tournerait deux ou trois fois avant que le moteur accepte de s’enclencher et mettrait les gaz vers la ville. Elle avait tout calculé. Elle tenait de lui, sur ce coup. Toutes ces années perdues et toute cette enfance gâchée. Tous ces jours où il avait regardé les objets avec lesquels il était sûr de gagner de l’argent. Et toutes ces journées où il la frappait.
« Mademoiselle ? »
Azil sursaute et regarde autour d’elle. Où est-elle ? Que fait-elle ici ? Ses yeux bleus se posent sur le vieil homme derrière le comptoir. Elle est chez l’antiquaire. Sa raison lui revient. Elle cligne des yeux.
« Je ne peux pas prendre cet objet. »
Elle ne comprend pas. Les paroles du vieillard viennent de la poignarder mais elle ne comprend quand même pas. Elle s’affole, panique.
« Mais… Mais… Pourquoi ? Ce… C’est de l’or véritable. Tenez, regardez ! »
Elle reprend l’objet et prie. Elle sent une décharge au niveau de ses doigts. L’objet se remet à briller. Mais elle n’a pas le temps. Plus de temps d’admirer ses créations, ce qu’elle sait faire mieux que les autres. Elle doit avoir quitté la ville avant son réveil. Sinon, ce serait la fin.
« Vous comprenez, je tiens cet objet de ma défunte mère et… »
Une excuse, il lui faut une excuse.
« Et ça me fait mal de savoir cet objet dans les mains d’une personne aux intentions peu honorables. »
Le marchand repose son regard vitreux sur l’objet et reprend sa contemplation.
« Mmh… »
Azil espère encore. Elle mise tout sur la pitié. Elle jette un coup d’œil rapide derrière elle, juste au cas où.
« Très bien. »
Nouveau sursaut. Elle le regarde.
« Vraiment ? »
L’homme hoche la tête, s’en va ranger dans l’arrière boutique cette nouvelle merveille et revient avec l’argent.
« C’est vraiment une très belle boîte à musique mais dites-moi, si ce n’est pas trop indiscret… Qu’allez-vous faire de cet argent ? »
Azil sourit. Un sourire faussement sincère. Mais elle a l’habitude, de faire semblant.
« Eh bien… Je pense économiser pour mes études. »
Elle le salue, sourit et sort de la boutique. Elle s’éloigne le plus rapidement possible, avant que l’objet ne reprenne sa valeur initiale et que la dorure disparaisse. Yes ! Mission accomplie, elle a l’argent. Elle traverse la rue et entre chez le coiffeur. Economiser pour ses études. La bonne blague. Si Azil a vendu cette boîte qui avait pourtant tant de valeur à ses yeux, c’est pour se teindre les cheveux. Du rouge. Elle a besoin de rouge. Et avec la monnaie restante, elle achèterait du maquillage, des babioles et d’autres vêtements. Au moins un pull et un jeans. Des chaussures. Et même peut-être des sous-vêtements. Des gants, il lui fallait des gants. Elle était prête à tout. Tout pour qu’il ne la reconnaisse pas. Qu’il ne la reconnaisse plus.


Lorsqu’il ouvrit les yeux, il faisait à peine jour. Depuis combien de temps dormait-il ? Il s’était assoupi en fin de matinée, alors qu’il entamait son troisième verre de la journée. Et sa fille tremblait et gémissait dans un coin. Lui, pourtant, ne s’accablait d’aucun mal. L’objet qu’elle avait transformé en or hier soir était déjà revenu à son état naturel. Il s’était senti obligé de la frapper, de la battre encore une fois. Ce furoncle n’avait qu’à faire son boulot correctement. Il ne lui demandait pas grand-chose, des babioles en vérité, trois fois rien. Elle n’avait qu’à poser ses doigts sur les objets et les transformer. Il remua dans son fauteuil et regarda l’heure. Il n’était pas si tôt que ça finalement. Il avait besoin de voir l’or. Il l’appela, elle ne répondit pas. Il attendit, la rappela, tendit l’oreille. Toujours rien. N’y tenant plus, il s’éjecta lourdement de son fauteuil.
« AZIL ! VIENS ICI, SALOPERIE ! »
Cette vermine ne se montra pas.

Azil, la nouvelle Azil, montre son pouce levé aux automobilistes. Son maquillage coule sous ses yeux et ses cheveux s’imbibent de la pluie. Elle s’en fout. Elle n’est plus qu’à mi-chemin. Une petite centaine de kilomètres pour arriver à Aomori. Là, tout irait bien. Elle avait trouvé l’adresse dans un magazine, alors qu’elle patientait pour sa couleur. Une école pour les anormaux. Elle qui avait toujours su qu’elle n’était pas normale… C’était sa chance. Là, tout irait bien. Elle avait déchiré la page du magazine et l’avait emportée avec elle. Un camion s’arrête en face d’elle et un vieillard la regarde par la fenêtre, lui faisant signe de monter. A Aomori, tout irait bien.
« Merci. »

SO AWESOME
« je suis comme je suis, à prendre où à laisser »

Du latin :
Aurum, Auri ; nt : L'Or

L'Aurification, autrement dit, la capacité à changer les objets en or rien qu'en les touchant. Une légère décharge au niveau des doigts et l'objet se met à briller. Ca ne lui fait pas mal. Contrairement au roi Midas, sauveur de Silène et récompensé par Dionysos, Azil ne transforme pas la nourriture ni les gens en or. Son pouvoir ne s'étend qu'aux objets. Et tant mieux !

Son pouvoir représente des avantages et des inconvénients. Certes, elle pourrait être riche et l'or coule à flot pour elle, mais ces avantages sont vite compensés par un inconvénient majeur : son père. Ce père admirant tant son pouvoir. Le problème, c'est que les transformations ne durent pas longtemps. Le temps varie en fonction de l'objet. Plus il est grand, moins la dorure restera. Plus l'objet est petit, plus longtemps ça reste.

La transformation se passe... Bizarrement ? Disons que l'or, c'est comme de l'eau. Elle pose ses doigts sur l'objet et c'est comme si l'or coulait dessus, pénétrant l'objet et ce qu'importe la matière. Bien sûr, n'allez pas croire qu'en posant une main sur une bouteille en plastique pendant une poignée secondes, la bouteilles brillera de ce précieux métal. Il n'y aura que des empreintes de doigts dorées. Pour que l'objet soit totalement doré, il lui faut plus de quelques secondes. Une poignée de minutes, variantes en fonction de la taille de l'objet, toujours.

La première fois qu'Azil a pris connaissance de ce pouvoir - bien avant que celui-ci ne se manifeste en elle - elle l'avait déclaré inutile et complètement stupide. A-t-elle été punie par Dionysos en personne ? Elle l'ignore. Mais ce dont elle est sûre, c'est que s'il avait en tête de la châtier, ça a marché. Non pas qu'elle n'aime pas son pouvoir, disons qu'elle ne supporte pas ce que les gens pensent de lui. Ils essaient tous d'user d'elle pour être riche.

Heureusement, elle mord désormais.

derrière l'écran se cache...
« scintillante pixellisation »

WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro] 046qw10
• PRÉNOM ou PSEUDO Marine Ema
• ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS J'ai une voix de fumeuse quand je gueule trop. J'ai un rire infâme et une voix trop bizarre qu'on se demande même si j'ai pas mal quand je parle. On pense que j'ai lissé mes cheveux quand je les lave et coiffe correctement. Je fais pas de sport comme tout le monde, moi je suis un atelier d'écriture. J'écris des histoires racontant l'histoire d'une mouette tétraplégique. Je suis amoureuse d'Aomori. J'arrive à faire un foetus avec une fille. J'casse les pieds des gens. J'suis belge mais je parle pas wallon. Il parait que j'ai pas l'accent de mon pays. [...] ♥
• PARRAINÉ ? Nan, j'grde la thune ♥
• DOUBLE COMPTE ? Une sale blondasse. Ema Hatsuyo
• CODE ? Parait que je dois pas le remettre. Made in cherry ♥
• C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE Je continue de clamer qu'il faut un placard à balais. Et votre icon à côté, avec les grenouilles... Elle me perturbe. ♥


Dernière édition par Azil Azuro le Mar 21 Fév - 14:33, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Hikari Okada
Hikari Okada
dindon

Féminin Age : 26
Messages : 2097
Inscription le : 16/01/2011
Localisation : J'ai bien une idée mais elle va pas te plaire *pantoufle*


Carte d'étudiant
Scolarité/Age: 17 ans
Pouvoir(s):
Club: Cuisine

WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro] Vide
MessageSujet: Re: WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro]   WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro] Icon_minitimeVen 30 Déc - 17:12

    (re) :welcome: (juste pour mettre le joli smiley 8D)

    MOUAHA J'AVAIS L'HISTOIRE EN AVANT-PREMIÈRE GRAVE UNE VIP T'AS VU Heum... Bref, ta fiche est magnifique, Ariel roxx du poney, Azil est un personnage qui promet en RP, muhuhu 8D ♥️ J'ai lu ta fiche d'une traite (j'me suis trop mise dans la tête du vieux pervers qui mate Azil et ensuite j'étais trop dans le père qui bat sa fille wesh), je suis encore sur le cul 8D

    Je te valide immédiatement et je te donne les liens pour que ce soit plus simple 8D
    Citation :

      HTTP:// Recenser Ariel (et puis pour le personnage original ben tant pis xD)
      HTTP:// Faire ta Fiche de Liens
      HTTP:// T'inscrire à un club
      HTTP:// Demander une chambre
      HTTP:// Créer un sujet Portable


    HAVE FUN avec Zizil \ô/ Bon, et puis je pense pas que ce soit la peine de laisser ouvert pour des messages de bienvenue vu que c'est un DC ? xD (en tout cas je verrouillerai seulement après une réponse, même de ta part, poké un sujet de présentation avec une seule réponse c'est trop triste.) (Greuh.)
Revenir en haut Aller en bas
http://infans.forumactif.com
Azil Azuro
Azil Azuro
garden

Féminin Age : 28
Messages : 704
Inscription le : 30/12/2011


Carte d'étudiant
Scolarité/Age: 2ème • 17 ans
Pouvoir(s):
Club: Théâtre

WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro] Vide
MessageSujet: Re: WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro]   WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro] Icon_minitimeVen 30 Déc - 17:23

ROHW MERCI HIKARI ! Tout me va droit au coeur [Azil est créée pour promettre en RP ♥]

Tu peux verrouiller si tu veux, mon chaton ♥
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro] Vide
MessageSujet: Re: WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro]   WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

WAH ! Ca brille *w* [Azil Azuro]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pensionnat Aomori :: pensionnat aomori - intro :: Présentations :: • Fiches Validées-