▬ Get out. Now.

feat - Xanxus ▬ Katekyo Hitman REBORN!

▬ NOM D’Artensec. ▬ PRÉNOM(S) Kazuyoshi. Joseph. ▬ AGE 33. ▬ CIVILITÉ Libertin. ▬ SCOLARITÉ Professeur Atelier De Pouvoirs. ▬ SEXUALITÉ Hétérosexuel. ▬ GROUPE Adults. ▬ POUVOIR Dieu du Sexe.

▬ Aucune valeur.

Ton corps empli de cicatrices.

Mais pourtant bien attractif.

Normal.

Tu as du charisme.

T’es grand. T’es pas un géant colossal non plus. Mais tu fais tâche entre ses petits Japonais. Mais tu t’en contrebalance un peu, de toute façon. La première chose qui frappe, dès qu’on te voit, aveugle ou pas. Ce sont tes cicatrices. De la tête au pied. Sur le visage, comme sur ton prépuce cerbère. Cela te donne du charme. Pour certains, c’est totalement abjecte. Tu n’y prêtes pas attention, personnellement. Cela est ton corps, tu l’aimes et 90% des femmes l’aiment aussi. L’important est là. Une physionomie que tu cultives depuis plusieurs années. Combien ? Impossible à véritablement savoir. Tu aimes le sport, et le sport t’aime. Une belle histoire d’amour qui laisse des cicatrices sur ton corps. Ce sont des abdos, des muscles et un corps qui est plus qu’attractif. Les Japonaises semblent être extrêmement sensibles au fait qu’un homme puissant possède une force pour les contrôler. A croire qu’elles aimeraient presque être violées. Presque fou, insensé, dément et démesuré. Un visage dur, presque inexpressif, aussi glacial que le cœur d’un juge. Une lueur démente dans ses yeux sanguins, rougeâtres, démoniaques. Seulement grâce à la magie des lentilles de contact. Douce technologie. On notera une chevelure, une crinière, une masse de cheveux en bataille. Aussi sombre que du goudron. Cela te donne un petit air défait, je-m’en-foutiste. C’est sexy et diablement attirant. Les femmes aiment ça. Les hommes aussi. Mais qu’importe pour eux, de toute façon. T’aime pas ça, alors bon. Il y a autre chose que les femmes aiment, et cela est le charisme ainsi que la classe. Pourquoi cela rentre dans le profil du physique ? Tu dégages une aura, un halo de lumière blanchâtre comme le ferait Dieu. Quelque chose de si particulier, une force viril un brin stéréotypé, certes. Mais cela est ton corps.

Sombre et sobre. Costume noirâtre et cravate opalescente. Pour le travail, bien entendu. Pourquoi faire compliqué quand pour avoir la classe, il suffit d’avoir une simplicité affolante ? Tu as bien raison. Oh, d’ailleurs, tant que tu y penses, tu possèdes un très léger tatouage. Au niveau de l’oblique droit. Le simple mot de : « Liar. » Le mensonge. Un art que t’aime, que t’apprécies. Largement. Que voulez-vous que je vous dise. Bref. Une main dans tes cheveux ébène, un petit sourire joueur sur deux lèvres fines et rosâtre et deux rangées de dents parfaitement opalescentes. Que vouloir de plus hormis… ? Oh, tu vois. Tu es plutôt bien équipé de ce côté-ci. A croire que Dieu te connait personnellement. Peut-être un peu trop vantard, mais tu es comme ça. Alors bon. Chaque partielle de ton corps est un havre de bonheur pour la gente féminine ainsi que pour les hommes. Dans tous les cas, tu es et tu resteras pour toujours ce mec, qu’on aperçoit dans la rue, l’air mauvais, presque vilain. Mais pourtant, ce mec, on le regarde. Parce qu’il est particulier, magnifiquement démoniaque. Tout simplement différent. Un grognement et les filles ont des bouffés de chaleur extrême. Un peu trop exagéré ? Non, pas vraiment.

▬ Serre la rose par ses épines.

T’es une ombre.

T’es le genre de mec qu’on craint.

Que cela soit par respect.

Ou par peur.

Il faut une volonté de fer pour pouvoir maitrisé cet endroit de merde où les gamins courent, hurlent, baisent et s’amusent. Tu sais comment tenir les petits en laisse, comme une bande de vulgaires chiens, aboyant à l’ironie de la vie. Froid, glacial, ignoble, hautain, méphistophélique. Un grognement en guise de réponse pour presque chaque question d’élève. Si quelques élèves ont la débilité d’avoir l’idée de venir te parler. Parce que Kazuyoshi J. D’Artensec, ouais, toi. Tu es un sacré con. Une espèce de bestiole venant du Sixième Cercle de l’Enfer même si cette comparaison reste très exagérée. La gentillesse et la politesse, tu ne connais absolument pas. Tu es direct et aussi impartial qu’un glaçon dans une montagne. Tu fais respecter le règlement à la règle. Un élève qui fume un joint ? Direction le bureau du Directeur. Un animal de compagne dans une chambre ? Vous devinez rapidement la suite. Tu t’en contre balance comme du premier de l’an. La prospérité et le bien commun ce doit d’être de mise avec ce Pensionnat Aomori. Alors les petits anarchistes de seize ans, les racailles avec des teintures abjectes qui se prennent pour des futurs dirigeants, tout ce beau monde fini dehors. Sinon, t’es un brin homophobe. On passe du coq à l’âne comme dans une partouse à la ferme, mais ce n’est pas bien grave. T’as un peu peur que l’un d’eux te viole dans une ruelle sombre et glauque. Sait-on jamais. Cela reste quelque part assez flippant de voir cette nouvelle génération aussi ouverte. Surtout qu’en cette dites génération engendre des futurs fils de pute affûté de pouvoirs surpuissants.

Tu as beau être le plus beau connard de l’univers, tu ne viendras pas chercher des noises à une personne dans la rue ou bien à un élève qui ne fait absolument rien qui encule littéralement le règlement du Pensionnat. Ne déconnons pas non plus. Pas besoin de te toucher la nouille pour savoir que tu as des attributs. Tu pourrais presque être sympathique. T’es juste aussi causant qu’une tombe et tu pousses des grognements à longueur de temps. Il faut dire que depuis l’accident, tu ne possèdes plus aucun repère dans cette putain de ville. Hormis quelques brides de ton entrée dans cet établissement faussement scolaire. Le bateau. Quelques élèves. Des puzzles, des fragments, des bouts de bois pourris. On verra bien où ton esprit carmin te conduit. Cela ne t’empêche pas d’être aussi froid que l’esprit pervers d’un moine tibétain, un air mauvais sur le visage. Tu ne possèdes presque aucunes qualités en termes de socialisation secondaire. Tu possèdes la primaire. C’est déjà ça. A croire que l’oubli de ton passé et le léger coma te changea complètement selon plusieurs conversations SMS d’élèves. Portables que tu avais confisqués. Par contre, tes capacités en tant que Dieu du Sexe n’ont nullement besoin d’être retrouvées. C’est déjà fait. Certaines choses ne se perdent pas. Les conneries comme le vélo et le sexe, apparemment. Mais le fait de dire : Merci. Si.

▬ J'aurais du y passé, mais j'vais attendre encore un peu.

Sexe.

Aomori.

Accident.

Un cerveau en décomposition.

On passera sur ton passé sans véritable émotion. Un truc un peu idiot qui grimpe en toi, et qui, maintenant, n’existe plus. Hormis quelques fragments d’or s’éparpillant au creux d’un cœur qui ne sait comment réagir face à la libération de son passé apparaissant on ne sait jamais quand. On notera un lointain souvenir appartenant à une maison close illégale au cœur de Hong-Kong. Le « Silver Dog. » Théoriquement un bain commun, en réalité une perversion idyllique. Tu en étais le commandant. Le Chef. Le capitaine de ce navire jusqu’à que. Aomori. Rien de plus concernant cette période-ci. Tu parles couramment le Français et selon les données du Directeur, tu étais Français. Pas de jugement particulier et à vrai dire, tu t’en contre fou comme de ta première masturbation oubliée par un accident trop violent. Une voiture. Un coma. Plusieurs mois qui détruisirent littéralement ta boite crânienne ainsi que ton enveloppe physique. Un truc moche qui provoqua le bonheur d’un pauvre professeur remplaçant pendant un bref moment avant que tu pénètres en son cours et que tu le vires un coup de pied au cul. Littéralement. Encore une fois. Tant pis pour lui, disons. Tant mieux pour toi. Bien que 99% des élèves ne te reconnaissent pas après plusieurs heures de cours. Même ta voix était devenue cassante et froide. T’étais gentil avant. Apparemment. C’est semblable à une légende urbaine véhiculant dans les artères d’Aomori. Cela ne te touche pas. Cela ne t’intrigue pas. C’est quelque chose de glauque et d’intéressant en même temps. Pourtant, tu n’y prêtes jamais attention. C’est mal, petit garçon.

Juste avant l’accident, comme déjà dis, tu étais gentil. Un truc mignon et sympathique selon les dires des professeurs et de tes différents collègues. Un sympathique rire en voyant une ancienne photo de classe. Une espèce de boule de poils verdâtre, un sourire aux lèvres avec un look sobre mais à la fois lumineux. Un certain paradoxe que les élèves semblaient appréciés. Tant mieux pour eux. Comme tes racines, cela t’apporte peu. Tu avais créé des liens avec différents élèves. Une gamine douée avec l’alcool. Sait-on ce qu’elle est devenue. Un professeur de Français largement trop collant. Un autre collègue qui passait son temps à dormir sur ton lit, sur le toit, sur ton épaule. Il y a eu des changements dans ce Pensionnat Aomori, et le peu de repères que tu possèdes ne sont rien d’autres que des membres fantômes ayant presque tous disparus. Le rêve est une réalité, mais les souvenirs peuvent être facilement ébranlés par un esprit faible. Malgré l’attitude bestiale que tu apportes aux élèves depuis ton retour récent sur la terre universitaire, tu restes quelque part en terre inconnue. Une part d’appréhension est présente, cachée par un sourire carnassier ainsi qu’un grognement presque charmeur. Sait-on ce que l’histoire offrira, un futur indécis pour un passé inconnu.

▬ Baise les gens.

C’est pas car tu te pris une bagnole en pleine tronche que t’as bite ne marche plus. Et ton pouvoir avec. Tu gardes le même degré de puissance avant, voire, une légère augmentation de tes capacités. Jouissance demande pénétration dans 99% des cas. On notera que fournir un orgasme extrême en près d’une seule pénétration est une chose totalement lambda pour toi. Mais tu remarquas peu à peu que le touché peau à peau engendre un stimulus au niveau du sexe. Cela ne concerne pas l’envie de faire l’acte sexuel, mais simplement de la jouissance sexuelle. On parle – pour l’instant – seulement d’un léger liquide pour la femme ainsi que de pré-sperme pour l’homme. La maitrise de cette partie du pouvoir est au trois tiers acquis au niveau de la maitrise. La puissance peut largement être augmenté avec de l’entrainement. Et des cobayes.

▬ PQ du monde.

• PRÉNOM ou PSEUDO Kazutoy. • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS Sex Toy vivant. A votre service. • PARRAINÉ ? Non. • DOUBLE COMPTE ? Non. • CODE ? Spoiler: • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE Hum.