le petit oiseau va sortir ~

feat - Akise aru/ Mirrai niki (aussi appelé) future diary

• NOM KURO • PRÉNOM(S) YANDA • AGE 15 ans • CIVILITÉ Célibataire • SCOLARITÉ 1ère année • SEXUALITÉ Bisexuel • GROUPE Heart Keys • POUVOIR INTANGIBILITE

Ce qui compte aujourd'hui, c'est l'apparence

«Quand tu ne parais pas, tu disparais»

Je voudrais commencer par dire que je porte des lentilles de contact de couleur rouge, je ne porte pas de lunettes car je n’aime pas ça. Pourquoi des lentilles rouges ? Parce que c’est plus voyant peut-être, mais mes yeux sont normalement verts. De plus, je me teins les cheveux en blanc car ils sont noirs et le noir c’est triste et sombre alors que le blanc est l’inverse.
J'ai donc les cheveux blancs, mi-longs, ma frange retombe entre et autour de mes deux yeux rouges sang. J'ai la peau assez claire. J'ai un petit nez fin et des oreilles non décollées cachées par mes cheveux. Je mesure 1 mètre 64 et je pèse 50 kg et je suis très souple.
J'ai l'habitude de porter des habits différents selon mon humeur et confortables mais souvent les mêmes car je ne sors pas souvent pour en acheter. Je me tiens toujours très droit et je ne fais pas beaucoup de gestes mais quand je parle les expressions sur mon visage sont toujours claires et simples à comprendre. Depuis l'incendie de ma cuisine, j'ai une marque de brulure sur mon bras gauche.

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« ôtons nos masques le temps d'un instant »

Yanda Kuro est innocent et naïf car il pense connaître beaucoup de choses alors qu'il n'a jamais vécu en société, mais malgré cela il est plutôt intelligent, perspicace et malin. Il est très souvent paisible et calme car il n'est jamais pressé et a suffisament de temps pour s'ennuyer. Il est adroit et curieux, quand il découvre quelque chose, il cherche toujours a approfondir ses connaissances sur le sujet. Il adore les chats alors qu'il n'en a jamais vu ailleurs qu'à travers un écran ou un livre. Il fait très attention et ne se blesse que rarement quand il s'attèle a une activité. Il est très gourmand mais pas forcément gourmet et il n'est pas rare de le voir une clémentine à la main car c'est son fruit préféré. Il a tendance a dormir les yeux ouverts, ce qui pourrait en effrayer plus d'un.
Comme c'est son père qui le fait étudier et qu'il est très souvent absent, il a d'accédé à une certaine autonomie dans la vie de tous les jours. Chaque jour, en attendant son père, il dessine, chante, regarde des documentaires (c'est presque les seuls film qu'on l'autorise à regarder), crée des objets, danse, dors, fait du piano, mais ce qu'il aime le plus, c'est s'exercer à la magie. Il impressionne facilement son père en faisant apparaitre et disparaitre des balles ou des pièces de monnaie. Mais comme il reste seul à longueur de journée, il a prit l'habitude de rester silencieux et dynamique mais pas hyperactif pour autant. Malgré sa prudence, il est tout de même influençable et insouciant. Cepandant il est direct, franc, honnête et sincère mais il préfère rester discret quand il en a l'occasion. Il perd difficilement son sang-froid et garde les pieds sur terre quelque soit la situation mais ça ne l'empêche pas d'être indécis.
Il n'obéit qu'a son père car il préfère choisir ce qu'il doit faire lui même mais il est quand même respectueux. Il est aimable la plus tard du temps mais mal à l’aise à l’oral.
Depuis qu'il a vécu un incendie étant plus jeune, il a une très forte phobie du feu, c'est une des seules choses qui risquent de lui faire perdre la tête. Quand, le lendemain, il s'est réveillé presque indeme, il n'a pas tout de suite prit conscience de son pouvoir. Mais par la suite, il s'est bien rendu compte que quelque chose clochait. D'abord, il a prit peur mais ensuite il s'est habitué même si il ne le contrôle pas toujours.

Les livres ont les mêmes ennemis que l'homme: le feu, l'humide, les bêtes, le temps...

Et leur propre contenu.

Le 3 aout XXXX
On ne souffre pas de choses dont on ne connait pas l'existence.

Je suis né le 16 octobre 1997 il y a huit ans, je suis fils unique et je vis avec mon père dans une grande maison dans la banlieue d'Osaka, du moins d'après lui. Car je ne sors jamais de la maison, en échange mon père me donne tout ce que je lui demande sans discuter. Ça ne me gène pas car j'ai toujours vécu comme ça. Il m'instruit lui même avec beaucoup de sévérité et d'engagement aussi bien de sa part que de la mienne mais malgré cela j'ai beaucoup de temps libre à consacrer à toutes sortes d'activités. Avec lui j'ai l'impression de presque tout savoir tant il m'apprend et jamais je ne douterai qu'il puisse me caché quoi que ce soit. Il n'a pas de raison de le faire après tout. Il m'apprend surtout les mathématiques, la logique et les sciences ainsi que les langues car il trouve ça important. Mais j'étudie la géographie avec des cartes que je lui demande d'acheter. Tout ce que j'apprends est dans les livres ou alors vient de mon père.
Aujourd'hui, il m'a offert un piano et des livres pour que j'apprenne à en jouer seul. Il est heureux que je puisse apprendre la musique et me dit qu'il n'a pas eut cette chance lui même. Moi, je suis content d'avoir une nouvelle occupation pour l'attendre dans la journée.


Le 19 mars XXXX

Il est 19h et je regarde pour la énième fois un documentaire sur les chats avec mon père. Quand le film est terminé, je lui pose une question qui me revient souviens quand je m'ennuie.
- Pourquoi je ne dois pas sortir?
- Je t'ai déjà dit que c'est trop dangereux pour toi, me répond-il.
- Un jour, je sortirai?
- Dans très longtemps j'espère, ne soit pas pressé.
- Je ne suis pas pressé mais juste curieux. Et toi, pourquoi tu sors?
- Je dois travailler comme tout le monde mais tu as du temps pour penser à tout ça avant que ça t'arrive alors n'y pense plus pour l'instant.
- Tu veux que je te montre mon nouveau tour de magie?
Il me frotte gentiment la tête avant de répondre.
- Après manger si tu veux.

Le 28 septembre XXXX
Ce n'est pas parce qu'on prévoie le pire qu'il ne risque pas de nous tomber dessus un jour ou l'autre.

Il est 17 heure et je m'ennuie, mon père rentre tard aujourd'hui. Je cherche quelque chose à faire dans mes livres quand je tombe sur une recette de cuisine. Je me rend compte que je n'ai encore jamais essayer de cuisiner moi même alors que je suis très gourmand et je tente donc la préparation d'un gâteau en pensant que mon père apprécierait de le manger avec moi. Je me mets donc au travail tout en mangeant une clémentine. Tout va bien et quand viens le moment d'allumer notre vieux four, je cherche un briquet. Je cherche partout pendant un moment avant d'en trouver un dans le tiroir d'une commode dans la chambre de mon père, et sans vraiment réfléchir, je le prends et retourne dans la cuisine. Je l'allume et une flamme jaillit devant mes yeux. J'étais impressionné par cette petite flamme car je n'avais jamais eu l'occasion d'admirer un feu autrement que dans des films éducatifs sur les pompiers. Je la fixe en oubliant mon objectif premier, je n'ai pas peur et profite de cet instant de découverte qui me passionne temporairement. Je reste quelques minutes à la regarder ne pensant à rien d'autre. Sans m'en rendre compte, mon poignet s'engourdit, je le baisse et tourne la main doucement. La chaleur devient de plus en plus forte et soudainement, une forte douleur envahit mes doigts, j'ai mal. Je lache alors immédiatement le briquet sur la table, me retourne vers l'évier et regarde l'état de ma main en la passant sous l'eau froide. Rien de grave apparemment, je me rappelle ne pas m'être fais mal depuis tellement longtemps que la douleur qui survient maintenant me parait plus intense que jamais, cependant je suis rassuré par la faible gravité de ma brulure. Alors qu'une odeur étouffante me sort de mes pensées, je me retourne et mes yeux grésillent devant la scène qui s'offre à moi:
D’énormes flammes ont pris place sur la table, la consommant tout en se rapprochant du sol et de moi.
Je m'inquiète d'abord pensant rêver puis je commence à paniquer. Maintenant, j'ai peur. Je me baisse doucement, la terreur m'habite, le feu m'intimide, me cerne et grandit. Je me retrouve au sol, recroquevillé sur moi même dans un coin de la salle. Je n'ose pas traverser les flammes qui prennent de plus en plus d'ampleur autour de moi. Je suis paralysé par la peur, j'ai le cœur qui bat comme jamais et des larmes de frayeur coulent de mes yeux. Avant maintenant, je n'aurai pas pensé un seul moment que je pourrais un jour ressentir un tel effroi et une telle angoisse. Malgré mon affolement, je ne dis pas un mot et reste la tête sur les genoux, les yeux fermés dans la crainte et la peur. Sans voir les flammes je sens leur chaleur, je trouve qu'elles sont trop proches de moi, je suis terrorisé, je me remémore la subite douleur ressentie il y a delà quelques minutes déjà. Je ne veux pas souffrir à nouveau, je veux voir mon père mais maintenant, je suis seul.

Le 29 septembre XXXX

Je me réveille avec d'horribles maux de tête dans un lit aussi blanc que la chambre dans laquelle il se trouve. Je regarde le plafond et me souviens de ce qui m'est arrivé la veille mais ne comprends pas pourquoi je suis encore en vie. J'ai dû être amené à l'hôpital et je dois surement être gravement blessé mais pourtant je ne ressens pas de douleur particulière, je suis peut être paralysé. Pour le vérifier (et en tentant d'oublier mes douleurs crâniennes incessantes) je décide de me redresser. J'y parviens sans problème et sors mes bras de dessous les draps pour les inspecter, je ne vois que quelques traces de brulures légères et indolores sur mon bras droit alors que mon bras gauche porte une énorme brulure rouge très marquée, mais tout aussi peu douloureuse. Alors j'en déduis que si mes bras ne sont pas fortement atteint alors mes jambes le sont forcément. Je m'assoie donc au bord du lit et pose mes pieds par terre. Contre toute attente de ma part, je tiens parfaitement debout. Je fais quelques pas mais une douleur plus intense survient subitement dans ma tête. Je mets un genou à terre et serre mes mains contre elle de toutes mes forces. Je ne crie pas, je ne pense pas à crier. À quoi bon? Qui pourrait m'aider? Je suis seul non? Je n'ai pas le temps d'y réfléchir et m'écroule au sol une nouvelle fois.

Le 30 septembre XXXX

Je suis sorti de l'hôpital avec mon père ce matin. J'ai dormi pendant presque deux jours à la suite de l'incendie et il s'est beaucoup inquiété pour moi. Il m'a expliqué qu'il était rentré plus tôt finalement ce jour là et qu'il avait trouvé la maison en feu, les pompiers la bombardaient d'eau sans retenue. Ils ne savaient pas que j'étais à l'intérieur car les voisins qui les avaient appelés ne m'avaient jamais vu. Quand mon père les a prévenus, ils sont rapidement venus me chercher et m'ont retrouvé sans mal, puis ils m'ont emmené à l'hôpital. Ce n'est qu'une fois sur place qu'ils ont constaté mes faibles brulures. Mon père dit qu'il est resté longtemps à l'hôpital dans ma chambre pour veiller sur moi puis qu'il a dû partir en attendant des nouvelles de l'hôpital. Il est soulagé de me voir en bonne santé et ne me demande toujours pas les causes de l'accident. Moi, je regarde par la fenêtre de la voiture en l'écoutant et en mangeant les clémentines qu'il m'a apportées. Mais le plus important c'est que je suis sorti. Je vois des gens dans les rues, des femmes, des hommes et des enfants ainsi que des chiens. La maison est loin de l'hôpital alors j'ai le temps d'admirer les paysages.
- Dis papa, ça n'a l'air dangereux dehors.
- Ça l'est bien plus que ça n'en a l'air. Mais ta mère ne le savait pas assez, elle sortait trop souvent et n’a jamais fait attention aux dangers du monde extérieur. Toi, même en restant à l'abri tu as été brulé et encore tu as eu beaucoup de chance d'après les médecins.
- Pourquoi tu ne m'as jamais parlé de ma mère?
- Ce pencher sur son passé, c'est risquer de tombé dans l'oubli... Et ta mère c'est du passé. Tu n'as pas besoin de la connaitre pour vivre heureux maintenant.
- Mais toi, tu ne penses plus du tout à elle?
- Si. Et je tombe dans l'oubli un peu plus chaque jour.
- Tu ne pleure jamais?
- Je ne pense pas que ça changerais les choses de pleurer.
- Tu as une photo?
- Pourquoi?
- J'aimerais avoir une photo de ma mère s'il te plait.

La voiture s'arrête, j'ai un peu le mal des transports je crois. On est arrivé à la maison. À l'intérieur mon père me donne une photo de ma mère dans un cadre. Elle en robe de mariée.
- Tu en as d'autres?
- C'est la seule que j'ai gardée mais je te la donne.
Je lui fais un câlin en le remerciant puis je pars la ranger dans ma chambre. L'incendie ne l'a pas atteinte et des ouvriers sont déjà engagés pour refaire la cuisine et les pièces alentours.

Le 10 janvier XXXX

Il est 15 heures et je suis assis devant mon bureau. Je travaille en regardant la photo de ma mère, mais du coup, je n'arrive pas à me concentrer. Je rabaisse le cadre sur le bureau pour ne plus la voir et donc ne plus y penser, je prends un crayon sans le regarder pour écrire, ou du moins j'essaie. Car bizarrement, je n'arrive pas à le prendre dans la main, peu attentif, je pense que je ne l'aie pas bien vu et je le regarde cette fois ci plus attentivement. Non, rien à faire, je n’arrive pas à le prendre. J’essaie de prendre mes livres, mes stylos et même ma chaise, sans résultat. Pourtant je vois mes bras, ils sont toujours là. Je commence à paniquer pour me calmer, je m’appuie en avant sur mon bureau mais mes bras passent à travers et me retrouve dessous. Par contre, je me suis quand même cogner la tête en tentant de me relever. De nouveau debout, je me rue sur mes livres pour trouver une quelconque raison à ce qui m’arrive… Mais je n’arrive pas à les ouvrir. Je me calme rapidement en me disant que s’énerver ne servira à rien, puis je m’assoie par terre pour réfléchir. Après quelques minutes de réflexion, je repense à ce qui m’est également arrivé il y a à peu près deux ans en regardant ma brulure. Peut-être bien que ce n’était pas de la chance après tout ? Je n’ai jamais cru les livres qui parlaient de ce genre d’évènements car ils n’étaient pas sérieux mais je me suis surement trompé. Quand est ce que ça m’arrive principalement… Je retente la prise des mes livres et j’y arrive parfaitement, je me suis calmé depuis quelques instants déjà, ça doit être cela. J’en parlerai à mon père ce soir.
Il est maintenant 21 heures, j’ai longuement discuté de ce qui m’était arrivé avec mon père et contre toute attente, il m’a écouté attentivement en me prenant très au sérieux.
-Ça s’appelle l’intangibilité, j’ai un livre qui en parle, c’est exactement ce qui m’est arrivé tout à l’heure.
Il prit un air intéressé avant de me répondre.
- Même si je te crois sincèrement, tu devrais attendre que ça t’arrive de nouveau avant d’être sûr que tu n’as pas rêvé.
-J’attendrais, mais à chaque fois je subis des maux de tête pénibles qui me donnent moins envie de recommencer.


Quelques jours plus tard, j’ai pu traverser des murs à la vue du feu que mon père allumait dans la cheminée ou bien alors je transperçais les touches du clavier de mon piano.
Durant quelques années, j'ai dû vivre avec ce don et je m'y suis finalement habitué. Maintenant je suis capable de contrôler mes bras et plus simplement encore mes mains. Mon père a fait des recherches et il a trouvé le pensionnat Aomori. Il était plutôt triste à l'idée de mon départ et heureux pour moi. J'allais pouvoir vivre avec des adolescents de mon âge et apprendre à maitriser mon pouvoir.
Le jour où il m'a emmené dans cet établissement, je ne suis pas sûr d'avoir eu à ouvrir la porte de la voiture pour en sortir.

SO AWESOME

« je suis comme je suis, à prendre où à laisser »

Yanda Kuro possède le pouvoir d'intangibilité, c'est à dire qu'il a la capacité de traverser la matière. Pour l'instant, il ne peut que l'établir sur ses mains assez simplement et très rarement et difficilement ailleurs quand c'est volontaire. Il l'utilise pour impressionner les gens en mettant sa main au-dessus d'une flamme par exemple, mais il le regrette souvent quelques instants après car il subit toujours de forts maux de tête à la suite de l'utilisation de son pouvoir. Sinon, il évite quand même de s'en servir à tout bout de champs. Parfois, il devient intangible sans le vouloir quand il a peur ou alors quand il ressent des émotions fortes et il a du mal a se contenir dans ce genre de moment. Ça le perturbe lorsqu'il est en présence d'autres personnes.

derrière l'écran se cache...

« scintillante pixellisation »

• PRÉNOM ou PSEUDO Nora • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS motivé • PARRAINÉ ? Non • DOUBLE COMPTE ? Non plus • CODE ? BOUM SHAKALAKA ! • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE NYANCAT!!!