et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu !

feat - Riven / League of Legends

• NOM Yoshinori • PRÉNOMS Soren, Natsume • AGE 17 piges, et son poing dans ta gueule • CIVILITÉ célibataire, pour le bien-être de l'humanité • SCOLARITÉ première; amis arrivants, prenez garde. • SEXUALITÉ indéterminée, à tendance inexistante. • GROUPE • POUVOIR

cesse de mater mes fesses, tu veux ?

« celui qui a dit que la beauté était intérieur devait certainement être aveugle »

Une ligne courbe, délicate et finement dessinée, part de ses pieds. Délicats et soignés, de taille normale, souvent chaussés de baskets randoms, plus rarement de talons, mais toujours aussi désespérément plats. La ligne court le long de ses mollets, contourne le genou, s'entortille autour des cuisses jusqu'au bassin. Des jambes fines et élancées, des muscles bien galbés, un sursaut de cellulite bien cachée, mais toujours impeccables en toutes circonstances. Elle continue sa trajectoire, s'aventure du côté des fesses, du bas-ventre, puis remonte vers la poitrine. Quelques grammes de graisse en trop, mais rien d'insurmontable; quant aux fesses, sa plus grande fierté et sa plus grande gêne, parce que souvent le premier truc qu'on matte chez elle. Aventureuse, la ligne continue sur les seins, explore le cou, redescends vers les épaules. Une poitrine qu'elle trouve trop peu généreuse pour contrebalancer son arrière-train, mais bien suffisante pour les garçons qui s'aventurent dans son décolleté; un cou gracile et des épaules délicates. Elle fait rapidement le tour des bras, caresse les poignets et effleure les doigts, mais sans s'attarder : elle va vers la tête, désormais. Des bras qui semblent normaux, mais qui recèlent une force insoupçonnée, terminés par des mains qui auraient pu être graciles, mais qui s'avèrent être marquées par le travail manuel et l'huile de moteur. Puis elle atteint le visage, court le long des lèvres, s'attarde à peine sur le nez pour aller vers les yeux, les oreilles. Un visage fin aux traits marqués, des lèvres fines et un nez aguicheur, un regard blasé qui semble mettre au défi, du fond de ses pupilles d'un brun trop classique. Enfin, la ligne atteint les cheveux, ébouriffe la masse blanchâtre et désorganisée qui tombe négligemment sur les épaules de la jeune fille. Des cheveux fins, décolorés, agressés par le peu de soin qu'elle y porte, définitivement décoiffés et incoiffables. La ligne s'arrête, soupire, regarde en arrière le chemin effectué. Le parcours est intéressant, jalonné de belles choses comme de petits défauts, mais certainement pas regrettable. Elle sourit, jette un regard à la jeune fille qui se dévisage dans le miroir. Elle ne s'aime pas, ça se voit, mais néanmoins elle essaye de prendre soin d'elle. Sauf pour ses cheveux, elle déteste ses cheveux. Elle jette un regard narquois au miroir, puis quitte la salle de bain. La ligne s'évanouit.

« Comment je me décrirais physiquement ? Pour faire court, j'suis bonnasse, j'ai des cheveux crades, j'aime pas ma gueule, et si tu me mate t'auras mon poing dans la tienne. »

La ligne revient. Soren a quitté la maison, couru après son bus sur les deux cents mètres qui la sépare de son arrêt, et a désormais le regard perdu dans le vague sur le paysage qui défile derrière la vitre. La ligne s'arrête un instant, observe, puis repart dans le sens inverse : du haut vers le bas. Elle commence par la tête. Un keffieh négligemment noué autour du cou, couvert de pins, un vieux bonnet en laine, une paire d'ailes en argent pendue aux oreilles. Elle descends sur le torse, la partie la plus importante, et explore chaque couche de vêtements. Un débardeur noir, couvert de taches de peintures et troué par une multitude d'épingles de sûreté; comme il fait froid, un gilet trop grand, déchiré aux poignets, et comme elle ne veut pas s'enrhumer, une épaisse veste en jeans chinée on ne sait où. La ligne continue son chemin, fait un détour par les mains -mitaines noires, vernis multicolore abîmé, arrive aux jambes. Un jeans délavé pattes d'ef, taille basse, usé aux poches, aux genoux, aux fesses et dans le bas, raccommodé d'à peu près partout – il faut la comprendre, les pattes d'ef, c'est introuvable. Finalement elle arrive aux pieds, chaussettes montantes rayées et simili-converses rouges -la droite est trouée à l'arrière, trace de cigarette. Le trajet n'est jamais décevant, sourit la ligne. Mais elle reste sur sa faim, alors elle observe encore un peu la jeune fille. Appuyée négligemment à un poteau du bus, elle regarde d'un air absent son gsm. Son autre main chipote ses cheveux, masse désespérante. Elle a le regard dans le vide, mais la ligne sait, d'instinct, que si quelqu'un osait troubler cette paix fragile, elle ne saurait rester éteinte. Le voile posé sur ses yeux cache par la fatigue une fougue incroyable, et sa démarche endormie n'est qu'un leurre de son assurance. Elle soupire, mordille ses lèvres, chipote une de ses boucles d'oreille. Rien d'intéressant sur son gsm, elle relève le regard, s'observe un instant dans la vitre. Non, Soren ne s'aime pas. Elle voudrait être féminine, sexy, à l'aise avec ce corps de femme qu'elle n'est pas. Elle voudrait pouvoir mettre des jupes sans avoir peur de montrer ses jambes, porter des décolletés sans risquer de se faire mater. Mais elle hésite, bégaie, soupire, et remets ses jeans troués. La ligne lève les yeux au ciel. Soren ne changera pas, elle le sait. Mais c'est peut-être mieux ainsi ? Alors la ligne sourit et, laissant derrière elle l'adolescente aux cheveux blancs, elle s'évanouit.

barbarian mode activated

« être barge, c'est bien; l'assumer, c'est mieux. »

Si vous aimez raconter votre vie, de votre passion des canards en plastique à votre façon d'enlever les pépins d'une pastèque, vous aimerez ce passage. Ici vous pourrez tout simplement parler du caractère de votre personnage; de ses envies, ses craintes, ses phobies, ses cauchemars, ses défauts, ses qualités, ce qu'elle aime ou au contraire ce qu'elle déteste. N'oubliez pas de parler de l'impact de la découverte de son pouvoir sur sa vie, comment se sent-il envers sa famille, ses amis, ses proches ? N'hésitez pas à tartiner de nutella cette section puisque une quinzaine de lignes sont demandées C:

once upon a time

« my story, i'm sorry, génial j'ai de nouveau l'ending en tête je vous hais »

Le moment tant attendu: la partie concernant l'histoire du personnage. Parlez de sa famille, de sa condition de vie avant d'entrer à Aomori, de la découverte de son pouvoir, éventuellement des progrès faits depuis. Pour les nouveaux élèves, ce serait cool de savoir comme votre personnage envisage sa vie à Aomori, si il a peur d'y aller ou pas, son appréhension. Pour ceux qui sont là depuis plus d'un an; vous cela serait cool de savoir comment votre personnage se sent ici :) N'oubliez pas qu'Aomori est un pensionnat japonais réservé à des étudiants nippons ; si votre personnage est d'origine étrangère, il faut qu'il sache parfaitement parler la langue et connaisse un minimum la culture japonaise. Environ une trentaine de lignes sont demandées.

powerfuuuuull

« le pouvoir appartient à celui qui le maîtrise »

C'est l'instant de parler de votre merveilleux pouvoir. A quel point il le maîtrise et ses difficultés, les avantages / inconvénients de celui-ci, à quelles fins il l'utilise, régulièrement ou non... Mais aussi ce qu'il se passe quand le pouvoir échappe au contrôle de son possesseur 8D Vous pouvez également parler des progrès faits depuis son entrée à Aomori (si jamais votre personnage n'est pas nouveau dans l'établissement, bien sûr. :B) Il ne faut pas hésiter à rajouter des détails et à personnaliser ~ Aucun nombre de lignes minimum ici /o/

crétinus stupidus Artemius

« insérez ici une citation pourrie sur la vérité »

• PRÉNOM ou PSEUDO Artemis • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS En un mot, con. En deux, imbécile décérébré. En trois, autiste câlin affectueux. Pour résumer, un grand gamin immature qui saute sur les gens, viole les ornithorynque, joue à Lol au lieu de bosser pour les cours et vous aime tous, sauf les méchants D: • CODE ? Hikari valide ♥ • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE Bwaaaah. Juste deux trucs : votre code là, il est cracra, ya des sauts de lignes mal mis, et mélanger html et bbcode, c'est archi-pas-cool D: Et pis ya des trucs qui servent à rien, ça m'hérisse le poil, chkrrr. Et pis aussi, le code du règlement, il reste dans les présentations, et il est pas bien caché .__.