le petit oiseau va sortir ~

feat - Luka Megurine / Vocaloid.

• NOM Sonntag. • PRÉNOM(S) Eva. • AGE 17 ans. • CIVILITÉ Célibataire et préfère le rester. • SCOLARITÉ Deuxième année. • SEXUALITÉ Bi. • GROUPE Heart's Key. • POUVOIR Paralysie.

ma poire belle Hélène

« salade de fruits jolie jolie jolie ♪ »

« Eva.. Eva, ma si jolie Eva. Sache que tu me manques. Tes longs cheveux rose, comme ta maman les avaient teints, ils sont si beaux. Ils sont doux au toucher. Ils sont si lisses. Pourtant, tes cheveux châtains étaient très beaux aussi. Je ne comprends pas comment ta maman à pu te les teindre comme ça. Mais qu'importe. Tu es toujours aussi belle.

Avec tes yeux dignes de la couleur de la mer. Ce bleu si profond, quand tu es heureuse, ce bleu s'éclaircit, jusqu'à devenir de la couleur du ciel. Quand tu es triste, il s'assombrit. Je n'aime pas ce bleu-là. Il me rappelle le fond des océans que j'ai visités tellement de fois. Tu es étrange tu sais. Tu lui ressembles. Je parle de ta mère. Elle avait aussi ce bleu dans les yeux.

Et ce n'est pas la seule chose dont tu as héritée d'elle. Ce nez tout fin. Cette bouche fine aussi. Puis ce sourire. Celui qui illumine la journée de quelqu'un. Voir même la semaine. Tu es inoubliable. Et tu le sais. C'est pour ça que tu souris continuellement. De tes dents blanches. Aussi blanches que la neige. Seul dieu sait comme tu en prends soin.

Tes courbes sont si jolies. On pourrait te dire que la nature t'as gâtée. Tu n'es ni trop maigre, ni trop grosse. Tu es juste ce qu'il faut.

Puis tes vêtements. Tu es ce genre de fille à toujours porter des robes, des jupes, des vêtements féminins. Une petite fille féminine. Enfin à ce stade, on ne peut même plus dire que tu es une petite fille.
Même avec tes tics et tes manies. Comme te recoiffer à chaque coup de vent. Qu'importe. Tu es parfaite. Oh, ma si jolie Eva.. »

mylife.com

« ôtons nos masques le temps d'un instant »

« Ton caractère est digne de celui d'une guerrière. Car tu n'abandonnes jamais. Tu te bats, continuellement. Tu te bats pour de bonnes causes. Tu te bats pour ce que tu trouves juste. Pour ceux que tu aimes. Pour que dans la vie, nous soyons tous égaux. Etant donné qu'aux final, nous sommes tous pareils. Différents de caractère, de physique, ou encore différent à cause de notre histoire. Mais qu'importe, tu t'en fiches. Tu protèges ton bien, peu importe le reste.

Ensuite, tu es quelqu'un de franc. Nous aimons ça. Le problème est juste que tu manques de 'tact'. Tu es trop directe. Tu te fiches de connaître la personne, tu lui poses quand même des questions qu'on ne pose pas forcément. Mais tu t'en fiches. C'est ça le principal. Qu'importe l'avis des gens sur toi. T'es comme t'es, ne change pas.

Tu es une joueuse ironique, tout en étant une de ces filles sensibles aux autres. Tu aimes faire de l'ironie. Mais tu te soucis trop des autres quand même. Tu es vraiment.. Chiante en fait. Et t'aime ça. Que serait donc la vie si tu ne faisais chier personne ? Elle ne serait rien. De plus, tu aimes jouer. La vie est un jeu dont tu es le joueur. Tu dois gagner. C'est là qu'interviens ton âme de guerrière. Elle te fait gagner.

Une petite gamine souriante et riante. Tu souris tout le temps. Même quand t'es triste. Mais t'es rarement triste, alors on s'en fiche. Tu ris aux éclats pour tout et n'importe quoi. Tu es une de ces filles qu'on voit et qui nous illumine notre journée dès que ses yeux pétillent. Tu es une étoile Eva, tu le sais ça ?

Ton seul défaut devrait être ta phobie. Claustrophobe n'est-ce pas ? Je comprends maintenant pourquoi ta chambre était la plus grande de ton manoir. Et pourquoi tu dois laisser la fenêtre ouverte que tu rentres dans ta chambre au pensionnat.

Sur cette lettre Eva, je te laisse. Prends soin de toi. »

PÈRE CASTOR ♪

« il est temps d'arrêter le temps »

-« Eva ? Tu as du courrier ! »

Criait la jeune maman depuis le bas des escaliers.

-« J'arrive maman ! »

On se croirait comme à Poudlard. Le jour où les jeunes magiciens reçoivent leur lettre d'admission. C'était un peu ça en y pensant. Sauf que c'était pas à Poudlard qu'Eva allait se rendre. Loin de là. Mais avant de raconter tout ça, retournons en arrière, dans le passé.

02 Janvier 19XX

La fête battait à son plein. Les invités sonnaient à la porte groupe par groupe. Chaque personne était vêtue d'un smoking (pour les garçons, évidemment) ou d'une robe assez classe (pour les femmes, logique). La famille Sonntag était une de ces familles qui respectaient les traditions familliales. Comme de faire une fête d'anniversaire en tenue chic, avec en guise de cadeaux de l'argent, des vêtements ou encore des bijoux. Jamais de jouets. Ni d'enfants du voisinage. Juste la famille.

D'ailleurs, c'était l'anniversaire d'Eva. Tout se passait à l'intérieur du manoir. Quelques jours en arrière, la neige tombait sans cesse. Le jardin était inaccessible à quiconque. Rien que pour venir jusqu'au manoir, les gens ont bataillé. Mais ils sont rentrés, ils sont désormais au chaud. Aujourd'hui ne sont que des retrouvailles. La famille s'était déjà vue hier, chez des cousins, pour le nouvel an. Mais qu'importe. Aujourd'hui, c'est Eva la vedette.
Elle fête ses 13 ans. Ce n'est plus une petite fille. Elle commence à être adolescente. C'est aussi l'âge bête. Mais ça, on ne le dit pas dans la famille.

Quelques heures plus tard, c'est l'heure d'ouvrir les cadeaux. Eva n'a jamais été aussi souriante et riante. Il n'y a qu'avec sa famille qu'elle est vraiment heureuse. Commençons au premier cadeau. Un cadeau de son oncle et sa tante, Asa et Eichi.

-« Ma chérie, nous nous sommes permis de t'offrir un cadeau assez spécial. Je pense que tu devrais aimer, ouvre-le vite. »

Ce premier cadeau n'était autre que des cours de japonais. Un professeur viendrait à domicile chaque soir pour lui apprendre à parler la langue. Eva savait déjà parler japonais, la famille de sa mère était japonaise. C'est vrai qu'en la regardant elle et son prénom, on ne dirait pas. Elle avait hérité de son père anglais. La mère voulait choisir le prénom de son enfant s'il avait été un garçon et le père si l'enfant avait été une fille. C'était une fille. Donc le père a fait le choix du prénom.

Enfin, revenons aux cadeaux.

-« Merci beaucoup ! »

Passons au deuxième cadeau. Celui de ses cousins. Une robe violette et bleu. Elle lui correspondait parfaitement. Eva n'avait même pas besoin de l'essayer pour voir qu'elle était à sa taille. Mais passons ce cadeau encore. Le troisième était le plus beau. Il venait de sa mère et de son père.

-« Il appartenait à la mère de ta mère. »

C'était un collier. Un collier d'une inestimable valeur. Un bijoux de famille, si vous préférez. Il était aussi cher à vendre, que dans le coeur d'Eva.

Mais tout bascule.

La porte s'ouvre brusquement. C'était encore ces hommes en noir. Ceux dont personne ne connaissait le nom. Ils étaient réputés pour voler des bijoux de grandes valeurs et ensuite ils les revendaient.

Ils entrèrent sans frapper. La porte de bois était brisée par tant de violence. Le premier homme arracha le collier des mains de la petite Eva. Puis sans que l'on sache comment, une de ses deux jambes s'était paralysée.

Et pendant ce temps-là, notre très chère mère en avait profité pour appeler la police. Le reste de la bande s'était enfuit. Le dernier homme restant traînait sa jambe aussi vite qu'il le pouvait. Mais il était bien trop lent. Tellement lent que la police était déjà arrivée alors qu'il n'avait même pas franchi le hall.

Puis un clignement d'oeil.

Sa jambe reprit son état normal. La fillette récupera son bien et la police s'occupa du reste. On peut dire que la fête c'est assez bien terminée. Qu'il y aurait pu avoir pire. Mais on va dire que depuis ce jour, Eva ne voulait plus fêter son anniversaire. A quoi bon, maintenant, sa famille ne voudrait plus la voir. Elle était définie comment étant 'bizarre'. Ils étaient persuadés que c'était elle le coup de la paralysie.

Pendant trois ans de suite, elle vécue un enfer causé par sa famille. Ils n'acceptaient pas qu'elle n'était pas comme eux. Ou du moins, qu'elle avait quelque chose de plus qu'eux. Vous comprenez, cette famille richissime à une réputation à tenir. Pendant ces trois ans, tout avait recommencé. Sur le coup de la tristesse ou de la colère, elle paralysait certaines parties du corps. Une fois, elle a paralysée quelqu'un en entier, mais elle était vraiment haineuse à ce moment-là.

Et ses parents ne l'aident pas. Ils étaient à l'écart et osaient à peine la regarder. Ce n'était pas vraiment du dégoût, mais de la peur. Ils avaient peur de leur propre fille. Et donc la rejetait. Enfin quand je dis qu'ils la rejette, c'est qu'elle mange seule à table, qu'elle est seule, que personne ne lui parle. Qu'elle est autonome et sans vie sociale. Ce qu'elle ne savait pas, c'était que ses parents faisaient des recherches. Quelqu'un qui peut paralyser quelqu'un d'autre, ce n'est pas courant. Voir même pas normal.

Ensuite, ils sont tombés sur le Pensionnat Aomori. Mais avant de l'envoyer tout de suite, il fallait que le directeur soit sûr et certain qu'elle avait bien un "pouvoir".

Enfin, je vais maintenant vous raconter cette troisième année.

-« Eva ? Tu as du courrier ! »

Criait la jeune maman depuis le bas des escaliers.

-« J'arrive maman ! »

La mère déposa la lettre destinée à la jeune fille sur la table basse qui était disposée à côté des escaliers. Eva l'ouvrit. Une larme perlait sur sa joue. Mais pas une larme de tristesse. Une larme de joie. Elle allait enfin sortir de cet endroit. Et c'est ce qu'elle a fait. Elle était partie pour le Japon. A ce moment-là, elle se rendit compte à quel point ses cours de japonais allaient lui être utile.

Elle avait pris le premier avion. Une fois arrivée, elle n'avait eu aucun mal à s'adapter. De toute façon, elle le devait. Puis elle était heureuse. Elle était là où les gens ne la jugeraient pas par rapport à son pouvoir.

Cette première année c'est plutôt bien passé même. Eva n'a pas eu de problème particulier à s'intégrer. Elle s'était faite des amis par-ci, par là. Les gens étaient plutôt gentils malgré son fort caractère. Elle avait appris à mieux maîtrisée son pouvoir. Elle a appris à se limiter, mais ce n'est pas ici que je vais en parler.

Enfin bon, nous verrons bien ce qui l'attendra en cette deuxième année au pensionnat. L'histoire n'est pas finie, elle ne l'est jamais. Elle continue, tout le temps.

SO AWESOME

« je suis comme je suis, à prendre où à laisser »

Ah, cette fameuse paralysie. C'est ici que je vais en parler. Au début, Eva avait vraiment du mal. Il se manifestait essentiellement quand elle était en colère ou plongée dans un élan de tristesse. Et il fallait également qu'elle évite de cligner des yeux pendant ce petit laps de temps. Sans oublier qu'à la fin, quand elle redevenait neutre, elle avait d'horrible mal de crâne. Mais c'était au début ça.

Ensuite, après son entrée à Aomori, elle à appris à contrôler son pouvoir, c'est-à-dire qu'il ne viendra pas forcément quand elle sera en colère. Il arrivera lorsqu'elle le désira. En revanche, le coup des migraines, lui, est toujours aussi présent à chaque fois qu'elle utilise son pouvoir.

En ce qui concerne le pourquoi de l'utilisation, elle l'utilise généralement quand elle veut embêter quelqu'un. (parce que se faire paralysé les jambes, c'est pas drôle pour la personne paralysée, mais c'est drôle pour Eva). Ou pour le bien. Vous voyez, elle se prend pour un héros, elle arrête les méchants et les voleurs. Enfin ceci n'est que fictif. Mais c'est pour ça qu'elle aimerait savoir parfaitement l'utiliser.

derrière l'écran se cache...

« scintillante pixellisation »

• PRÉNOM ou PSEUDO Euh, euh. On ne m'appelle pas. '^' • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS Chiante, chiante, chiante, chiante. C'est suffisant ? 8D • PARRAINÉ ? Du tout. • DOUBLE COMPTE ? Non plus. • CODE ? Sasy passe et dit que c'est du tout bon! • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE C'est bourré de fautes que je n'arrive pas à voir, bonne chance. - Sasy confirme. :I