I'M THE BORN OF MY SWORD.

feat - rin okumura / ao no exorcist (blue exorcist)

• NOM - Shimizu (清水 - eau claire). • PRÉNOM(S) - Akira (明 - intelligent). • ÂGE - 16 ans, né un 12 Octobre. • CIVILITÉ - Célibataire. • SCOLARITÉ - 3ème année. • SEXUALITÉ - Hétérosexuel. • GROUPE - Garden's Key. • POUVOIR - Cryokinésie (Glace).

BOGOSS OU BOLOSS ?

« Try to find a mistake in me. »

Physiquement, Akira n'est pas à plaindre, loin de là, nous pouvons dire qu'il est assez gâté par la nature de ce côté-là. En effet, loin d'être moche, le jeune homme est, à l'inverse, plus que correct sur le plan corporel. Commençons par une vue d'ensemble : sa silhouette est pour le moins normale, le jeune homme étant plutôt grand, pour un japonais : un mètre soixante-seize, pour environ soixante-quatre kilogrammes en guise de masse. Bien proportionné, le garçon n'est pas gros sans pourtant faire dans l'anorexie, ne débordant pas non plus de muscles.
Il possède des cheveux noirs mi-longs, qu'il ne prend généralement pas la peine de coiffer : disposés en bataille sur sa tête, ces derniers obliquent vers le haut, d'autres mèches préférant se déposer sur son front, masquant une partie de celui-ci - sans pour autant troubler sa vue, est-il bon de préciser. Le garçon a de grands yeux noirs disposés sur son visage : noir comme la nuit, on ne peut plus sombre, qui laisse cependant paraître malgré lui les émotions du jeune Akira au travers de leurs pupilles.

Son visage, contrairement à ce qu'on pourrait penser, est dénué de boutons, à l'inverse de la plupart des adolescents : possédant une peau légèrement bronzée mais exempte de signes particuliers comme les tâches de rousseur, il a cependant quelques caractéristiques assez anormales. Si son nez et sa bouche tiennent de la normalité, les dents et les oreilles d'Akira dont les extrémités sont pointues peuvent sembler des plus bizarres : ayant ces éléments physiques de façon naturelle, le jeune homme préfère ne pas se poser de question à ce sujet et ne les cache pas.
Pour ce qui est du reste de son corps, le garçon est loin d'être à plaindre. Une alimentation saine et beaucoup de sports lui ont permit de tenir la ligne, lui octroyant une corpulence des plus correctes. Ses bras, bien qu'un peu fin, lui sont des plus utiles, à l'instar de ses jambes qui ne semblent pourtant pas excéder en muscles. Il n'est pas des plus séduisants ou classieux de sa génération de personnes, mais Akira a, selon lui, largement assez d'atouts pour se permettre de ne pas en changer.

Au niveau de son style vestimentaire, en un mot : improvisation. Akira n'est pas gothique, ni punk ou dieu sait quelle genre de style vestimentaire dans lequel il aurait l'air plus ridicule qu'autre chose. Il se contente de s'habiller comme il a envie, ce dans quoi il est le plus à l'aise. Il emmerde la mode et cette société de stéréotypes.

I JUST WANT TO BE FREE.

« Shut up, it's an order. »

Akira n'est pas vraiment ce genre de mecs exceptionnels que l'on ne rencontre qu'une fois en une vie. Il ne fait pas parti de ces types qui peuvent être caractérisés comme des gens incroyables, il n'est pas plus une personne généreuse qu'un héros, et pas plus galant que poli envers les autres. Non, car dans ce monde qui lui apparaît comme une toile de fond, Akira peut être vu comme une personne banale. Il avait une vie simple, poursuivait des études simples, si bien qu'il en est venu à considérer la vie comme un simple jeu dans lequel sa conscience serait prise au piège.
Partant de ce mode de pensée, Akira agit comme bon lui semble, sans faire attention à ce que les autres pensent. Il est du genre franc, disant les choses simplement, peu importe ce que cela lui en coûte. Fervent égoïste, le garçon n'en reste pas moins très possessif quant aux choses qu'il apprécie - et n'allez pas croire que des personnes peuvent être inclues dans ce trait de caractère -, au point de pouvoir refuser les demandes des autres. En effet, le garçon a du mal à faire confiance aux autres.

Impoli et irrespectueux, s'il y a bien quelque chose qu'Akira déteste, c'est qu'on lui donne des ordres. Vivant en ayant pour devise le fait d'être totalement libre, il a horreur de se voir donner des consignes - voire même des conseils, quelles qu'en soient leurs causes, préférant agir comme bon lui semble. Au contraire, le garçon trouvera un malin plaisir à faire le contraire de ce qu'on lui demande, si l'on insiste sur ce point-là - et croyez bien qu'il n'en éprouvera absolument aucun remord. Après tout, ayant vécu dans une famille riche, le jeune homme a des difficultés avec la valeur des choses.
Avoir un téléphone portable ? On peut le jeter à la flotte, aucun soucis, on en rachètera un. Bien entendu, Akira ne fera jamais cela sauf en cas d'extrême nécessité, n'étant pas du genre à gaspiller. Il cache en lui une personnalité des plus enjouées, mais entachée par un passé lourd qu'il s'efforce de cacher au monde. Il refuse catégoriquement d'en parler quelle que soit la raison, et croyez bien qu'il sera très difficile de le faire changer d'avis. Comme il serait difficile de le changer lui-même.

Au fond, Akira possède une seconde personnalité. Activée en cas de forte excitation - et inutile de s'attarder là-dessus -, ce n'est pas plus mal qu'elle reste bien enfouie au fond du cerveau du jeune homme : fourbe, sournoise et mauvaise, ce second "lui" n'est rien de plus que sa personne, avec une haine envers le monde entier, et envers vous.

ONCE UPON A TIME.

« I don't want to remember. »

L'histoire d'Akira est ennuyeuse, du début à la fin, laissez-moi vous avertir. Le jeune homme est né comme un noble, et a fini comme un imbécile, c'est la seule différence entre le début et la fin de sa vie. Si vous n'êtes pas patients, arrêtez-vous de suite. Akira est né dans une famille assez riche, mais pas assez pour être noble cependant. Son père était un riche homme japonais, et sa mère, elle, journaliste étrangère. Lors d'une voyage d'affaires important, il l'avait rencontrée. Ils avaient tous deux eut LE coup de foudre, et bien qu'ils n'avaient pas que de sages attentions en s'approchant au début, ils sont inévitablement tombé l'un amoureux de l'autre. Elle avait sans hésité accepter de l'accompagner au Japon après avoir revendu son logis et abandonné son travail.
Un mois après leur installation, la mère du jeune homme annonça à son mari une merveilleuse nouvelle : « Je suis enceinte ». Cette phrase avait provoqué chez lui de la surprise, puis du réconfort. Il allait, lui, avoir un enfant ! Bien qu'il n'ait que la trentaine à ce moment-là, il se réjouissait de pouvoir, lui qui avait vécu dans la solitude jusqu'à présent, donner la vie à quelqu'un. Il espérait que sa femme et son enfant survivraient tous deux à cet accouchement. Finalement, ils attendirent ensemble les 9 mois et le jour propice, ils étaient prêts.

A ses côtés, le père était inquiet. Les médecins n'étaient pas tendus, ils voyaient que pour le moment, tout se passait bien. D'ici quelques minutes, le bébé allait sortir, et ils l'attendaient. Ils emmenèrent le brancard dans la salle des urgences, puis s'équipèrent. Enfin, ils se lancèrent dans l'opération, mais quelque chose clochait. L'accouchement se passait normalement, mais du sang s'échappait du corps de la future mère.
Les médecins s'activèrent, tentèrent de trouver une solution, mais ils comprirent bien vite qu'il n'y avait rien à faire. Un être supérieur, un dieu, avait décidé qu'il était temps de trancher le fil de vie de cette femme, et personne ne pouvait aller à l'encontre du destin, de la décision du Tout-Puissant. Au bord de la mort, la mère, puisque les enfants avaient été sauvés, demanda à voir son mari. Ce dernier, en larmes, alla au chevet de sa femme. Cette dernière lui glissa ainsi les prénoms qu'elle désirait pour ses enfants, dans un dernier soupir.

Ainsi s'éteignit la vie de la mère d'Akira.. Toute sa vie, elle s'était senti heureuse pour la bonne raison qu'elle croyait au bonheur simple, au bonheur autonome. Son mari n'avait jamais été au courant de ce mode de pensée si triste pourtant. Cette femme avait aimé sa famille, avait aimé son mari et aimé ses enfants même si elle n'avait pas partagé de moments à leurs côtés. Et là, elle s'était éteinte, ne laissant derrière lui que son mari et ses enfants. Elle n'était pas vraiment heureuse, elle essayait de persuader les autres qu'elle l'était, bien que cela ne soit pas le cas. Elle ne partageait ses secrets avec personne, et le secret de sa maladie disparut avec elle.

Ainsi donc, une douzaine d'années étaient passées depuis. Akira Shimizu, aîné de la famille, avait 15 ans, c'était un garçon aux cheveux noirs et aux yeux bleus ; il profitait de la vie, comme sa mère, et était souriant comme personne. Son frère, Takao Shimizu, était le second, et accessoirement jumeau de Akira. Ses cheveux étaient marrons, et ses yeux bleus ciel, à l'inverse de son frère. Pourtant, ils se ressemblaient énormément. Ils avaient une vie convenable puisqu'ils côtoyaient un lycée assez respectable, et leur père travaillait énormément dans le commerce, il vendait... du vin. Il ne s'était pas remarié depuis la mort de sa femme, et n'approchait même plus une personne du sexe opposé. Mr. Shimizu avait déclaré qu'il avait assez souffert et qu'il était bien assez heureux ainsi.
Il avait fondé sa propre entreprise et la fortune de sa famille montait en flèche, à telle point qu'il avait déménagé et possédait même une maison très imposante. C'était malgré tout assez modeste comparé aux grandes familles du pays, mais il se débrouillait. Il avait, même dans le monde de l'économie, des rivaux, mais il ne baissait pas les bras et se battait dans son travail.

Les deux garçons, eux, avaient d'excellentes notes à l'école. Ochiru frôlait le plafond des notes alors que son aîné stagnait dans les 10 premiers sans avoir une moyenne hors du commun. Il était bon, et cela lui semblait largement suffisant.
Leur avenir semblait tout tracé mais c'était idiot de penser que leur petite vie allait se terminer ainsi, avec une happy end. Dans le monde humain, rien n'arrive par hasard et les conséquences de nos actes forment ce hasard, et il ne faut pas négliger des détails de notre vie.

Mr Shimizu avait annoncé à ses enfants qu'ils pourraient certainement prendre des vacances en vue de leur revenu, et ces derniers l'avaient cru. Ils pensaient que leur vie se poursuivrait de cette façon, c'était penser naïvement ! Son père devenait un homme de plus en plus influent et important qui faisait maintenant de l'ombre à beaucoup d'autres entreprises concurrentes et ignorait les réclamations de ces dernières. Il était devenu bien plus travailleur depuis le départ de sa femme, et cela n'avait pas été en vain : sa fortune s'étendait de plus en plus. Et ainsi, ce qui devait arrive arriva.

Akira n'habitait pas loin de son établissement et venait à pied là-bas... puis revenait à pied. Ce jour-là, était le jour il avait fait deux erreurs consécutives. La première avait été de répondre à un professeur et de collectionner un total de trois heures de retenue qui l'avait fait arriver en retard, et la seconde de survivre. Vous voulez que je vous raconte ? Seulement, le comportement trop peu respectueux et intrépide qu'Akira avait eu en cet état lui avait causé énormément de problèmes. C'était ainsi qu'il avait gagné une retenue, et était revenu en retard. Seulement, ce n'était pas le bon jour pour cela... Lorsqu'il arriva chez lui, sa maison était en feu et il ne voyait presque rien en sortir.
Il entra, se faufila entre les flammes et chercha son frère et son père : aucune trace d'eux. Akira martela le mur de coups de poing, ses larmes ruisselant à présent sur ses joues. Le mur s'emplissait de glaces après ses coups, mais il n'y prêta pas attention, aveuglé par la rage. Ils avaient dû survivre ! C'était impossible qu'ils meurent ! Par la fenêtre, le garçon observa une silhouette humaine partir en courant, et alors la rage prit le dessus. Il se redressa d'un bond et courut à l'extérieur, poursuivant cet homme en fuite. Il fila entre les arbres mais trébucha sur une racine et tomba. Il tenta de se relever et courut à nouveau mais se rendit vite compte qu'il s'était perdu. Akira tenta de marcher, en vain, il ne faisait que s'épuiser. Alors ses quelques pas le guidèrent vers une clairière où il s'écroula, non loin de la ville.

Quelques jours étaient passés lorsque Akira se réveilla. Il ouvrit les yeux et remarqua qu'il était propre, dans de nouveaux habits. Allongé dans un lit, il se trouvait chez une personne qu'il ne connaissait pas. La demeure était assez petite et modeste, mais la décoration était assez belle. Il tourna la tête de droite à gauche et se redressa, pour observer à travers la fenêtre qui se trouvait à sa gauche. C'était la ville, il était donc dans la maison de quelqu'un qui habitait dans un espace urbain.
C'était une femme assez vieille qui l'avait sauvée, et il la rencontra après son réveil. Elle connaissait ses problèmes, et tous, à voir ce qu'était devenue la couverture sous laquelle il avait dormi : de la glace. Elle lui proposa une école pour personnes comme lui, qui puisse le former à mener une vie normale. Finalement, Akira accepta l'offre de la femme. Il rejoignit le pensionnat Aomori et désormais, deux années ont passé. Il a 16 ans, et un meilleur contrôle sur sa vie. Puisse le sort lui être favorable, désormais.

I'M SO AWESOME.

« You can't test me, 'cause I'm perfect. »

Cryokinésie, ou la possibilité de geler personnes et objets par le biais du toucher. C'est le pouvoir dont dispose Akira, bien qu'il le contrôle très mal.
À son arrivée et même un peu après, le garçon avait zéro possibilités, étant incapable de faire quoi que ce soit de ce don. En revanche, lorsque sa seconde personnalité prenait le contrôle de son corps, il arrivait à l'utiliser correctement : en chiffre, son niveau de contrôle serait de 50%. Depuis le début de sa troisième année, il a su finalement trouver une bonne façon d'utiliser sa cryokinésie, même sans avoir recourt au second « lui », bien qu'il ait du mal à la maîtriser.
Toutefois, s'il est capable de se servir de son pouvoir d'une façon correcte, son caractère lui fait défaut, et ses capacités en pâtissent. D'autant plus qu'en cas de sur-utilisation, il s'évanouit, la chaleur de son corps pouvant baisser drastiquement au point de l'en tuer.

WE ARE WHO WE ARE.

« Reculez, je mords. »

• PRÉNOM ou PSEUDO - Gautier / Spoonboy. • ME DÉCRIRE - Asocial & insupportable. B) • PARRAINÉ ? - Personne. • DOUBLE COMPTE ? - Non. • CODE ? - Okay by Shigeru. Bandicoot ? • C'EST MON DERNIER MOT - Yep, yup.