Arrivé à Aomori, le pensionnat « spécial », je me suis vite rendu compte que l'atmosphère n'était pas « normale », ce qui avait tendance à me faire comprendre qu'il y aurait pas que de beaux jour.
J'avais le petit texto simple mais d'une certaine manière pas très rassurent, jardin d'Aomori 9h au pied du cerisier.
Que dire je me trouve devant le portail de mon nouvelle internat, là où je pourrais travailler mes dessin mon corps et mon écriture ce portail immense en métal si... finement travaillé ce bâtiment me paraissait malgré tous un endroit où je pourrais apprendre à vivre et a continué pour « eux » mon maitre de mes principe et ceux qui n'ont pas eu la chance de continué à mes côtés. A me perdre dans le passé j'en oubliais presque le présent dans lequel on m’a ramené assez brutalement. Un coup à démolir un mur ce qui, ne m'étonnait vu le lieu où je me trouvais mais ce qui me surprit c'est que cette personne n'était autres qu'un ancien voisin.
Un « amis » ma demandé de venir (fis-je en soupirant)
-Ah? Tu sais où? Car le domaine est très grand.
-Le cerisier du jardin tu sais ou c'est?
-oui las bas tu le vois d'ici.
-merci et à la prochaine.Je me mis en direction du cerisier il paraissait faire la taille d'un bâtiment de deux étage japonais, mais je vie au pied de l'arbre ce qui ressemblait à un sabre. Ce sabre je l'avais déjà vue quelque part. Il remuait le tréfonds de mon âme... mais pourquoi?
Plus je m'approchais plus je commençais à me demander qu'elle merde m’attendait ou plutôt pourquoi ici... sa me paraissait étrange.
Aomori un ami? Plus qu'étonnant. Durant ce temps de réflexion j'avais continué d'avancé et me trouvais déjà sous l'arbre, il me paraissait plus grand maintenant et d'autant plus apaisent avec son odeur et le chant des oiseaux.
J'avais un peu d'avance, de quoi repérer le lieu où je pourrais me réfugier dans le cas où ce serait une mauvaise rencontre ce qui ne m’étonnerait pas vu les personnes que j'ai aidé au prix de quelque « baffe » que j'ai été forcé de distribuer. Je me mis à distance du sabre et m'assit, on m'avait appris que le sabre faisait partie du corps de son utilisateur telle le prolongement de son bras, pourquoi cette sensation de familier était là? Aucune idée, quand soudain je fus harponné au col de ma veste du quel je m'en défis de suite et me leva en hâte pour me mettre en posture de défense, problème? Je n'ai pas eu le temps de me lever que je fus rabattu a terre un rire moqueur mais emplit d'affection se fit entendre
-tu t’es amélioré mais ce n’est pas encore ça!
-quoi? Fis-je sonné.En levant la tête je le vit avec un grand sourire moqueur, Riku, celui que je considère comme mon frère et mon mentor je me relevait temps bien que mal et il me jeta la veste , que je laissait tombé pour m'assoir.
Riku n'avait pas changé il s'assit en tailleur et mi sont sabre sur ces jambes
et me lança:
-Alors comment tu trouves les lieux?
-Surprenant, magnifique et toi. Ici non mais tu imagine même pas a quel point sa me surprend. Faut dire que j'ai espéré longtemps de te retrouvé puis sa m'étonnerais pas que tu sois celui qui m'ait envoyé le prospectus d'Aomori. Mais comment dire tu devrais me dire comment tu est arrivé ici frérot non?