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 FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~

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Nana Ishikawa
Nana Ishikawa
heart

Féminin Age : 27
Messages : 7
Inscription le : 02/10/2012


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FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Vide
MessageSujet: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeVen 12 Oct - 18:26



"Alors ouais j'me la raconte,
Ouais ouais je déconne,
Nan nan c'est pas l'école qui m'a dictée mes codes.
On m'a dictée, mais le rap, voila de la boulette...
Sortez les briquets, fait trop tact dans nos têtes."


Le petit oiseau va sortir ~
Pour te casser la gueule !
feat - Un dessin d'Aoshiki (unique)


"Y a comme un gout de haine quand je marche dans ma ville...
Y a comme un gout de gène quand je parle de ma vie...
Y a comme un gout d'aigreur chez les jeunes de l'an 2000...
Y a comme un gout d'erreur quand j'vois le taux de suicide."

FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ 121012095512240766
• NOM Ishikawa ♪
• PRÉNOM(S) Nana ♥
• AGE 16 ans ~
• CIVILITÉ Célibataire ♪
• SCOLARITÉ 1ère année ♥
• SEXUALITÉ Bisexuelle ~
• GROUPE Heart's Key ♥
• POUVOIR Rap-sensation ♪

Du Pistolet à eau à la bombe atomique ♪
Et c'est une fille hein. Pervers.

"La politesse est à l'esprit ce que la grâce est au visage.
Les préjugés sont du à la vulgarité du mien."


L'air un peu rebelle, elle se promène dans la rue d'une démarche assurée, voir même un peu féline. Qu'on la considère normale ou extravagante, de toute façon, elle se sentira toujours elle-même, et affichera clairement ses sentiments : une impression de liberté perpétuelle. De ce fait, elle aime transcender les idées de certains points; au Japon, se teindre les cheveux est plutôt mal vu - on considère même cette manie comme un signe de délinquance. Pourtant, Nana impose souvent un régime à son porte monnaie, en entrant chez le coiffeur, pour ressortir la crinière flamboyante, mélangée de mèches blanches et orangées.

Les cheveux naturellement ondulés, elle les laisse toujours tel quels; et c'est peut-être le dernier atout original de sa chevelure. À préciser que l'on aura sûrement jamais l'occasion de découvrir sa véritable couleur, qui n'est autre que le brun, comme la plupart des Japonais.

Il en est de même pour ses yeux, simplement elle n'est pas du genre à renouveler la couleur de ses lentilles; pour eux, se sera toujours une sorte de rouge orangé. Les deux éléments les plus remarquables étant énoncés, on peut refermer les traits de son visage en les qualifiant de "fins", tout simplement.

Le reste de son corps à beau être plutôt fin, il n'est pas à qualifier de frêle - mais pas pour autant de musclé. Si on peut le formuler ainsi, disons que sa corpulence est située dans la "moyenne" japonaise. Elle ne pratique pas plus de sport que ceux des cours d'EPS, donc si elle s'empiffre d'un buffet pendant toute une soirée (oui, c'est genre), ne nous étonnons pas qu'elle prenne facilement du poids.

Sinon, que dire sur sa taille, à part qu'elle est assez élevée, mais pas gigantesque non plus. En général c'est une assez jolie jeune fille, bien qu'elle ne donne peu l'impression d'être une douce et gentille Charlotte aux Fraises; chose qui, en plus d'être facilement remarquée au travers de sa chevelure, se traduit par son style vestimentaire. Oui, il faut dire qu'elle n'est pas une adepte de l'uniforme porté à la perfection (ni des chaussettes de la même couleur).

En bref ~ Nana, c'est une fille qui cherche à afficher son bien-être, sa liberté, peut-être même son irrespect des règles, aussi bien par ses actions que par le biais de son apparence physique.

Oh, et puis, elle aime les accessoires type bracelets, qui font des bruits. Ça énerve les profs en cours.

Mais sa boite de bracelets qui rétrécie de jour en jour -merci au merveilleux bonhomme qui a inventé le verbe "confisquer".


« Vous avez 1098 messages indésirables ♪ »


« Bientôt,
Il n'y aura plus de criminels, rien que des malades ;
Plus d'opposants, rien que des délinquants ;
Plus de déviants, rien que des tordus. »


Pas si facile à comprendre et loin d’être simple à vivre, on peut dire que Nana se rapproche plus du personnage complet que simplet, mais ce n’est pas non plus une formule mathématiques sans queue ni tête. Un peu de patience et on n’y arrive sans trop de mal. Encore faut-il l’avoir, cette fameuse patience… Car combien de personnes, à la vue d’un individu « différent », s’empressent de s’abattre sur les premiers préjugés ? Elle a beau être victime de ces opinions précipités, il en faut bien plus pour changer son statut de gaillarde en « fille en pleure ». Certes, il pourrait lui arriver de se blesser fortement (ce sentiment est humain), mais ne le montrerait que très peu.

Mais quelle est donc cette personnalité si achevée ? Celle d’une enfant qui exprime sa différence plus qu’elle ne le devrait. Celle d’une jeune fille qui se laisse juger et va jusqu’à satisfaire ses critiques en les accroissant ; par exemple, si après l’avoir traitée de « délinquante », l’on a le malheur de voir nos dire remonter à ses oreilles, elle s’empressa de réaliser un véritable acte de délinquance devant nous. Au lieu d’étouffer les rumeurs –de toute façon, il y en a trop– elle est préfère les amplifier. Au moins, elles ne seraient plus des rumeurs, mais des réalités.

Elle n’en ait pas encore ni à l’attentat, ni à l’assassinat, ni au complot de l’extrême (il serait d’ailleurs même étonnant qu’elle en arrive là), mais ses simples et régulières infractions à un règlement d’école ou ses toutes petites manies de hors la loi suffise à la qualifier de "fille pas calme". Et pour ainsi dire, la calmer, c'est pas une chose facile. Encore, lors des cours elle semble discrète et effacée (tant qu'on la laisse somnoler tranquille), mais il suffit qu'elle entende un très léger et lointain tintement de sonnerie pour qu'elle retrouve sa forme perturbatrice, même le temps d'un interclasse. Mais dès qu'il s'agit de patienter un instant dans toute forme de cas, elle se transforme en énorme limace. Elle déteste l’attente, avec elle, tout doit aller vite, tout doit se faire comme elle en envie.

Tout doit se faire comme elle en a envie… Comment ça ? Comme dit juste au-dessus, elle déteste attendre… Elle est capable de péter un gros câble pour cinq minutes de retard au passage à la cantine, et aura même l’impression d’avoir raté sa vie si elle perd trente secondes sur le trajet de retour de l’école. Et ne parlons pas de la queue à la caisse – d’ailleurs, elle grille aisément tout le monde – ou de patienter en salle d’attente, chez le médecin.

Aussi, disons que son niveau de tolérance est proche du nul. Elle veut bien qu’on la saoule cinq minutes, mais au-delà, c’est trop. Elle n’a pas de particularité ou d’habitude particulièrement, si ce n’est qu’elle est capable de gravir les records de la forme la journée si elle n’a pas fermée l’œil de la nuit précédente – elle résiste très bien à la fatigue. Mais ne surtout pas confondre la fatigue « naturelle » avec « Tu me fatigues ».

Elle peut-être gentille, aussi (ahwoé ?), ce n’est pas une affreuse fille sans cœur. Elle est capable de portée de la considération aux petits enfants qui ont faim, là-bas, ou même plus proche d’elle, elle peut très bien comprendre le malheur d’une famille qui perd un proche.
Mais pas trop, tout de même, n’exagérons rien.

En résumé, pour comprendre Nana, il faut beaucoup de patience. Par contre, elle, n’en a aucune. Elle semble être une chipie qui aime le bazar alors qu’elle peut avoir un cœur.
En tout cas, une chose est sûre : elle ne changera pas.


La petite fille qui aimait les histoires...
« De la Belle à la Bête.»

« Il y a toujours dans notre enfance, U
n moment où la porte s'ouvre
Et laisse entrer l'avenir.»

La ville avait la réputation d’être tranquille, même les weekends et jours de fête. Aussi, elle était si petite que tous les habitants se connaissaient et se respectaient. On aurait plus dit qu’elle était un petit village convivial plutôt qu’une ville, finalement. C’était un univers joyeux, il n’y avait pas un matin où une dizaine de personnes ne passaient pas la tête par la fenêtre pour vous saluer. Aussi, on ne pouvaient rêver meilleur endroit pour élever ses enfants. D’ailleurs, parlons-en des enfants. Ils n’étaient pas très nombreux, une petite école primaire avec des classes d’une vingtaine d’élèves tout au plus. Mais à travers eux, il régnait une telle hétérogénéité qu’ils s’accordaient tous parfaitement. Alors, la journée, pendant les récréations, il n’était pas rare d’entendre des rires et cris d’enfants, dont les voix portaient jusqu’aux frontières de la ville.

Elle habitait cette ville, et il faut dire qu’elle aimait, même adorait l’ambiance qui y régnait. Il y avait toujours quelqu’un pour lui tenir la main et se ranger avec elle à la sonnerie, tous les invités répondaient présents à ses fêtes d’anniversaires, il y avait toujours un autre parent pour accompagner elle et un ami au parc pour faire de la trottinette. Les enfants peuvent se contenter d’un rien, et ces petites attentions qu’on lui prêtait régulièrement étaient pour elle un réconfort permanent. Sa mère avait vraiment bien choisi le lieu où son seul enfant serait élevé. Elle aimait tant sa fille, cette mère, c’était son petit trésor, sa raison de vivre. C’était sa petite Nana.

Sa mère avait la furieuse manie de la pousser vers la voie de l’érudite. Elle était son seul enfant, et elle, qui n’avait pas fait les meilleurs études et qui se retrouvait fortement endettée, souhaitait que sa fille grandisse bien, et de ce fait fasse de longues études qui lui permettrait plus tard de vivre une vie confortable et heureuse. De ce fait, elle la suivait dans son travail tous les soirs, ce qui avait tendance à agacer Nana. Alors, malgré tout le respect qu’elle portait à sa mère, elle n’était qu’à un niveau moyen d’écolier ; mais la maman n’avait pas de quoi s’inquiéter : sa petite avait beaucoup de réserve et saurait les utiliser convenablement le jour où elle se rendra compte de l’importance des études.

Si l’on ne parle pas de son père, c’est parce que ses parents sont divorcés ; c’est ça mère qui obtenu la garde de l’enfant lors de la procédure de divorce. Son père, qui s’était trouvé une nouvelle compagne, vivait trop loin pour lui permettre d’obtenir le droit de la garde alternée, ainsi que dans un milieu défavorisé. Aussi, jugé pour quelques-unes de ses mauvaises actions lors du procès, il n’eut pas le droit au système « un weekend sur deux ». Ses parents ayant divorcés à sa naissance, leur séparation a été demandée par sa mère, qui se faisait régulièrement frappée par son mari en état d’ébriété grave ; son comportement étant considéré trop violent pour un bébé, il eut l’interdiction d’approcher de sa fille et de sa mère en dehors d’une zone contrôlée les sept premières années de la vie de Nana. Mais son comportement s’étant nettement amélioré durant ces dernières, l’interdiction fut révisée puis levée : il pouvait désormais approcher de sa fille, mais ne pouvait toujours pas la garder un jour complet.

Sa mère aurait préféré que les jugements vis-à-vis de son ex maris de soient jamais réviser, car elle voyait au loin se profiler ce qu’elle redoutait beaucoup. En effet, son maigre salaire alourdissait chaque mois le nombre de factures impayées, et de même les nombreuses dettes passées de son maris qu’elle était condamnée à rembourser à moitié. De ce fait, elle craignait qu’on ne juge sa fortune trop insuffisante et qu’on lui retire son enfant pour l’envoyer chez son père. Et à ce moment-là, le père de Nana, qui lui semblait si irresponsable de l’éducation d’un enfant, saurait-il s’occuper correctement de sa fille ? Son milieu de vie était si différent, bien plus dangereux que sa ville paisible. Cela faisait peur à sa mère : Nana ne saurait jamais se débrouiller dans un tel univers.

Et pour Nana ? Et bien, cela ne lui faisait ni chaud ni froid. Elle n’avait jamais vraiment eu de père, vivre seulement avec sa mère ne lui paraissait pas particulière dur car elle n’avait jamais bénéficié d’une vie de famille. Elle se trouvait dans la « normalité », pour ainsi dire. Toutes ses histoires de divorces, de garde… Elle n’y voyait pas l’intérêt, pire encore, allez vivre chez son père, elle considérait ça comme une sorte de « soirée pyjama » amusante et drôle, qui n’en finirait pas. Aussi, peut-on lui en vouloir ? Elevée dans le calme extrême, loin des problèmes et horreurs de la société, ses connaissances sur le monde extérieur ne s’étendaient pas plus loin que les cours de géographie ou des petites anecdotes de dessins animés.

Peu à peu, son père obtenu de plus en plus de libertés. D’abord le droit de voir sa fille seul, puis celui de la garder un weekend pendant les vacances, ensuite une semaine. Le droit d’aller la chercher à l’école le soir, ainsi que de la conduire à une activité, exposition, sortie dans un parc ou autre ; mais tout cela ne se faisait que sur autorisation de la mère, car ensuite vint l’obligation de confier Nana à son père le 1er, 3ème et parfois 5ème weekend du mois. C’est à partir de ce moment-là qu’elle se rendit réellement compte de la véritable face de l’humanité. Tout n’était pas aussi rose qu’elle ne le pensait, et au contraire, chez son père, tout semblait gris.

Elle ne sortait jamais et se contentait d’observer ce monde par la fenêtre de sa petite chambrette, aménagée à la hâte pour l’accueillir. Elle ne se risquait jamais de mettre un pied dehors, sa mère l’avait tellement avertie des dangers extérieurs, à son départ, et sa volonté de ne pas la décevoir était telle qu’elle refusait toutes sorties avec son père. D’ailleurs, parlons-en, de son père. Il ne se soûlait plus et vivait dans un appartement qui ressemblait à un HLM, avec sa nouvelle compagne, à préciser qu’ils vivaient dans une cité japonaise qui pour nous, se rapprocherait de près à un quartier un peu soupçonneux du 93. A ce-moment-là, Nana était âgée d’une dizaine d’années, et cette découverte brusque du monde déchira une bonne partie de sa naïveté d’enfant. Elle ne serait plus jamais pareille, désormais.

Puis ce que sa mère redoutait arriva. Un nouveau procès débuta, et à la sortie du tribunal, le verdict tomba : son père obtenu sa garde intégrale. Mais pour Nana, maintenant, vivre chez son père ne se résumait plus à une pyjama-partie amusante et sans fin, mais comme quelque chose à craindre. Alors, quand sa maman lui appris la nouvelle, elle pleura. Elle pleura d’une tristesse énorme et d’une peur infinie.

Qui disait déménagement disait aussi changement d’école, surtout que pour Nana, cela tomba sur sa rentrée au collège, elle était donc âgée de 11 ans. Inutile de préciser qu’elle fut mal accueillit, dans ce genre d’environnement, on reconnait tout de suite qui se détache du lot, qui ne fait pas parti du même univers. Bien qu’elle soit déjà une adolescente et un peu plus mature, convaincue du malheur de certaines facette du monde, elle n’en était pas encore à la franchise et aux « connaissances » des enfants qui habitaient la ville depuis leur plus ‘’tendre’’ enfance…

Elle eut un mal fou à s’intégrer, elle passa ses premiers mois de collégienne seule et quasiment sans amis. Quasiment, car il y avait bien quelques bonnes consciences pour venir vers elle et lui proposer de manger en leur compagnie, mais elle déclinait toutes invitations. Réduite à sa solitude, elle perdit la dernière petite lueur de joie qui persistait à scintiller, au fond de ses yeux. Là-bas, ses notes moyennes sont devenues excellentes, la pauvre se faisait méchamment traitée « d’intello ». Confrontée alors à sa solitude, elle réduit son estime à emprunter un pauvre petit livre qui énonçait différentes « techniques d’intégrations ». Le petit ‘tilt’ qui était censé se faire à la fin du livre lui redonna espoir alors qu’elle se questionnait sur un mot de l’introduction. « Adaptation ».

« Qu’est-ce que ça veut dire exactement, adaptation ? »

Sur ces mots elle ouvrit un dictionnaire, mais la définition qui lui était donné ne lui convenait pas, elle en chercha donc une autre. Elle feuilleta ainsi quatre ou cinq dictionnaire, sans jamais trouver une explication qu’elle serait capable d’analyser, de comprendre. Alors, ce fondant sur ses maigres connaissances, elle déduit elle-même une définition de ce mot.

« S’adapter, ça signifie se transformer pour plaire aux gens qui ne nous ressemble pas. »

Ce qui n’était, bien sûr, absolument pas ça. Mais Nana croyait fortement en sa déduction, peut-être était-ce son désespoir qui la poussait à penser ainsi ? Qu’importe la raison, la jeune fille était motivée pour changer. Elle s’y mit dès le lendemain. Les petites manies qu’elles avaient remarquées, chez les gens populaires, elle les reproduisait. C’est comme ça qu’elle arriva à se faire remarquer. Au début, elle n’aimait pas vraiment agir dans cette voie, en faisant semblant de perturber les récrés, en se forçant à ‘faire du mal’, mais pourtant, peu à peu, ses actions devinrent de plus en plus sincères. Elle ne faisait plus attention à ce qu’elle faisait, elle ne calculait plus le moment où elle devrait créer l’agitation, tout lui venait naturellement, et même pire, elle aimait ça.

Maintenant, en rentrant chez elle, elle se ne précipitait plus sur son bureau pour faire son travail ou regarder des programmes rose-bonbon à la télé. Maintenant, quand elle rentrait le soir, c’était juste pour poser son sac de cours et ressortir directement s’amuser dans les rues. Ce n’était plus en trottinette qu’elle s’amusait à dévaler les pentes en modes vitesse maximale, mais agrippée au t-shirt d’un ami qui démarre son scooter. Là-bas les voisins ne l’entendaient plus rigoler tout gentiment, mais hurler comme une folle sans se soucier ne serait-ce une seconde de la tranquillité de ceux-ci. Quand on lui reprochait ses infractions, elle répondait mal, se moquait, était même prête ridiculiser. Oui, Nana avait bien changé.

Sa mère ne la reconnaissait plus. Les rares fois où sa fille passait la voir –sur obligation du juge–, elle ne sortait pas. Les rôles s’étaient inversés, maintenant, elle s’ennuyait dans sa petite ville où les gens semblent tous être des enfants, elle trouvait les activités des jeunes puériles et les sorties sans intérêt. Comme si dans son esprit, tout s’était inversé. Elle aimait cette vie, elle s’y accrochait, tout ce remue-ménage qu’elle créait avec ses amis était comme une drogue, un plaisir dont elle ne savait se lasser. Alors, quand elle était chez sa mère, elle allumait la télé et se branchait sur une chaîne de musique rap. Ce style de musique, qu’elle aimait beaucoup, lui permettait un peu de combler le vide qui semblait apparaitre dès qu’elle se retrouvait en atmosphère calme. Pourtant, le paisible univers de la petite ville s’accordait très mal aux voix grave et aux paroles franches des rappeurs. Ici, c’était des chansons douces ou joyeuses, que l’on écoutait. Des chanteurs aux voix aigues qui n’écrivent que des « Je t’aime ». Les rappeurs, eux, n’ont pas vraiment l’envie de nous chanter des chansonnettes d’amour éternel. Puis quand ces sons durs et lourds parvenait à ses oreilles, elle sentait en elle une vague fraiche de bien-être, comme si d’un coup, tout allait encore mieux qu’avant, comme si la vie ne résumait qu’aux chansons, et que c’était bien.

Malheureusement, la tendance qui faisait que tout s’inversait chez elle, dans son comportement, sa manière de penser et sa façon de vivre, n’agissait pas que sur sa personnalité ; en effet, du côté de ses parents, tout fonctionnait aussi inversé. Son père était maintenant en grosse difficulté financière, sa compagne l’ayant quitté. Au contraire, sa mère qui c’était trouvée un nouveau fiancé pu rembourser confortablement ses dettes grâce à l’appui de son amant. Son père se battu longtemps dans l’espoir de conserver la garde de sa fille, mais malheureusement, son insuffisance d’argent fut telle qu’il demanda lui-même à ce qu’on révise ses droits. C’est donc ainsi qu’une seconde fois, Nana changea de responsable légal.

Cette fois, en apprenant la nouvelle, elle ne pleura pas, comme elle l’avait fait lors de son premier déménagement. Simplement, elle hurla en agitant des chiffons humides tant tous les sens, enchaînant insultes et menaces à l’égard de son propre père qui eut pour dernière vision de sa fille celle d’une enfant emplie d’un affreux mélange de désespoir qui faisait ressortir toute sa haine. Alors elle prévint tous ses amis de son prochain départ. Ceux-ci organisèrent une sorte de fête « clandestine », dans un de ses passages souterrains couverts de carreaux blancs et sales, situés généralement derrière les tunnels de nationales. Ils étaient au moins une vingtaine, d’un âge allant du sien aux 18/19 ans, environ. Là-bas, elle fuma, elle but. C’était un peu comme sa dernière soirée de liberté, d’amusement. Elle s’amusa comme une folle. Puis vint environ trois heures du matin. Une odeur insupportable d’urine, de tabac, de vomis et d’alcool flottait dans le souterrain, mais elle ne s’en rendait pas compte.

Epuisée et ivre morte, elle s’écroula sur le sol dur et gelé. Tout semblait flou autour d’elle, les sons lui paraissaient lointains, une étrange sensation de mal être la parcourait. Puis, tout à coup, une musique, un rap dont elle s’était enivré en le passant en boucle dans sa tête. Alors, à l’écoute de celle-ci, elle se sentit tout de suite mieux, légère.

Comme si tout allait bien, comme si elle était redevenue la petite fille qui ne savait rien du monde et ne connaissait que la joie de vivre. Alors, dans cette détresse aussi inquiétante qu’elle était apaisante, elle s’évanouie.

Ma chère fille.

Si tu savais comme je m’en veux d’avoir accepté de te laisser partir, ce soir-là. Quelle idée. Si j’avais résisté à ta fureur, tu ne serais pas hospitalisée, à l’heure qu’il est. J’espère que ta tête va mieux. Tu en as encore pour quelques jours dans cette chambre blanche, mais bientôt tu repartiras chez ta mère, et tout ira mieux. Tout s’inversera à nouveau. Cela fait déjà plus d’une semaine passée à l’hôpital, mais bientôt, tu pourras te lever, et on t’enlèvera cette affreux bandage…


Nana reposa le bout de papier transmis par une infirmière, sans avoir fini de le lire, car sa tête lui faisait mal dès qu’elle entendait parler de son bandage, censé l’aider à guérir l’affreuse cicatrice qui découpait l’arrière de sa tête. Elle se l’était faite en s’évanouissant, l’autre soir, sa tête ayant heurté violemment le sol. Elle savait quoi faire, quand son mal de tête revenait. Non pas appeler une infirmière, comme on aurait pensé, mais allumer la radio sur une station qui ne diffusait que du rap. Car depuis cette soirée, elle avait pu remarquer le bienfait étrange qui lui procurait cette musique. Pour elle, il n’y avait désormais plus meilleur médicament.

Aussi se demandait-elle si cette sensation s’appliquait aux autres gens. Alors elle tenta l’expérience sur une infirmière, un matin. Quand celle-ci rentra dans la chambre pour prendre de ses nouvelles, elle lui posa cette question…

« Eh dis, t’aimes le rap toi ? »

« Non. », répondit celle-ci presque du tac au tac. Et il faut dire que c’était vraiment un ‘non’ plein de dégout.

Nana dirigea ses doigts lentement sur le bouton pour allumer la radio.

« Ah bon ? Moi j’aime. »

Elle pressa sur le bouton, et le son envahit la salle. L’infirmière la salua et s’empressa de partir, une drôle d’impression sur le visage. L’après-midi, quand elle demanda comment à sa collègue cette infirmière se portait, elle répondit qu’elle était rentrée précipitamment chez elle après avoir été prise de violents maux de tête. Une vague de soupçons la parcourra alors. Est-ce que sa tête était si déréglée que ça ? Ou elle avait la furieuse impression qu’en sa présence, le rap donnait soit des sensations agréables ou mauvaises ? Elle retenta l’expérience une nouvelle fois, puis une fois encore, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’elle soit persuadée de son idée.

Enfin vint le temps pour elle de rentrer chez sa mère. Elle n’était plus aussi furieuse qu’elle l’avait été en apprenant la nouvelle. Maintenant, elle était certaine qu’elle n’aurait aucun mal à faire un retour dans cette ville… Mais en aucun cas elle n’avait l’intention de changer, elle resterait la même, qui aime perturber, qui aime le désordre, qui aime s’amuser comme une folle jusqu’à pas d’heure. Alors comment allait-elle « s’adapter », cette fois ? C’était tout simple. En adaptant les autres. Car maintenant, elle avait une arme redoutable contre ceux qui chercheraient à la faire basculer. Elle était même certaine de sa réussite.

Ainsi, acharnée telle une lionne court après un gazelle, elle instaura sa manière d’être au plus profond de sa ville. Certains la suivaient, amusés de la voir réembarquer sous cette nouvelle forme. D’autre au contraire, la critiquaient dès qu’elle passait devant eux. Cela ne lui plaisait pas ; si un regard un peu penché lui était adressé, elle s’arrangeait pour faire la misère au concerné. C’était sa philosophie, qui y touchait la subissait. Aussi, elle se servait beaucoup de son « don », qui prenait de plus en plus d’ampleur, et elle s’en ventait. Parfois, même si elle se gardait bien de le dire, il lui devenait même incontrôlable.

Un an passa ainsi. Elle adorait cette vie tout autant que la précédente. Il faut dire qu’elle était beaucoup admirée, dans sa ville de campagne… Mais elle était tout autant détestée. Oui, certains étaient là pour regretter le calme passé de la ville… Tandis que d’autres idolâtraient presque l’agitation des rues ; tandis que Nana, elle, était fière de son œuvre : sa ville natale, pour elle, n’était désormais plus à fuir ou détester ; elle aurait pu presque s’en proclamer reine.

Mais dans les coulisses de ce spectacle sans fin ce cachait une jeune fille troublée. Oui, Nana commençait à se demander jusqu’à quelle ampleur son don irait prendre, elle le trouvait de plus en plus dur à contrôler, elle peinait à se contrôler elle-même : jamais elle ne résistait à l’envie de poser cette question fatale : « Tu aimes le rap ? ». Elle devait se reprendre en main, elle en était consciente. Alors qu’elle se faisait ces réflexions, un papier lui arriva en pleine figure. Mécontente, elle l’arracha de son front, et le parcourra lentement des yeux, avant de le froisser et de le fourrer dans sa poche. C’était un papier ordinaire, pourtant. Juste un mot écrit maladroitement sur une feuille blanche, comme on écrit une adresse dictée à la hâte par téléphone.

« Aomori. »

Salut c’est Nana

Bon bah voilà tu vas trouver ça chelou que je t’écrive à la main mais le réseau passe pas ici. Je suis dans un pensionnat, Aomori, vers Honshu je crois. C’est pour ça que t’as pas entendu parler de moi pendant le mois dernier, je pouvais pas aller chez mon père vu qu’ici, on peut pas sortir. J’ai pas changer, je suis toujours celle que t’as connue, mais ici, j’ai trop l’impression d’être toujours fliquée. En plus je suis venue de mon plein gré. C’est un peu comme un pensionnat où Yan’ était parti y’a deux ans là, quand ses parents l’on envoyé dans un truc d’intellectuels. Sauf que le mien le but c’est pas d’avoir un diplôme avec mention Plus-que-très-très-bien, mais de contrôler son pouvoir. Ouais hein, tu vas me prendre pour une folle, mais ici tout le monde à un pouvoir comme le mien. Je me contrôlerai mieux maintenant, ça m’évitera de faire du mal comme j’ai pu le faire à ma mère ou Lizzie, tu vois le genre. Ou alors de faire du bien aux gens comme l’autre bouffon là… Tss. Ah d’ailleurs, le don dont je t’avais parlé là, ben il est carrément pas puissant ! C’est dingue comment y’en a qui ont des pouvoirs de ouff, j’avoue que je les admire un peu. Bon, je sais plus quoi dire. A plus ?

Elle prit un timbre, le colla sur l’enveloppe, glissa la lettre à l’écriture presque illisible dedans, puis la fourra dans son sac, sans se soucier du fait qu’elle risquait de se froisser. Elle la remettrait aux chargés de transmettre les lettres plus tard.
Inutile de préciser que son amie ne la recevrait jamais.





Tu aimes le rap ?
« Non, ne répond pas ! »

« Le pouvoir corrompt,
Le pouvoir absolu corrompt absolument. »

Après lecture de l’histoire, on peut deviner sur quel sujet porte son pouvoir : le rap. Simplement, on peut avoir des doutes sur l’effet de celui-ci.

Son pouvoir consiste à faire ressentir des effets que l’individu visé perçoit en écoutant du rap, mais en puissance légèrement décuplée. Si l’on déteste le rap de tout son être, on peut être prit d’une furieuse envie de vomir, ou alors de très gros maux de tête. Au contraire, si l’on aime beaucoup ce genre de musique, on se sent alors étrangement bien, d’agréables frissons nous parcourent, et une sorte de soulagement intense nous envahit. Les effets ressentis sont en fait très variable, cela dépend vraiment de l’individu visé.

Comment le déclenche-t-elle ? Simplement en posant la question « Aimes-tu le rap ? », ou un de ses dérivés. Par contre, il faut répondre à la question pour que la magie se fasse sentir.
De ce fait, Nana peut le faire agir sur les humains uniquement capable de comprendre la question et d’y répondre (y compris elle).
Impossibilité d’attaqué un enfant trop jeune, un étranger qui ne comprend pas la langue, un sourd, mais pas un muet -> possibilité de répondre dans la langue des signes ou à l’écrit. C’est étrange, oui.

On peut presque dire que le pouvoir se déclenche en deux étapes, car une fois la question posée et la réponse obtenue, il faut en plus que la personne visée entende un morceau de rap – qui peut provenir de n’importe où. C’est-à-dire aussi bien d’un radio, d’une télé, ou même d’un son qui résonne dans la tête.

Son pouvoir n’est donc pas énormément puissant – il n’évolue presque pas et possède un petit paquet d’inconvénient, simplement Nana a du mal à se maîtrisée. Il peut être très défensif contre un individu qui n’aime vraiment pas le rap, mais il sert presque de remède à un rappeur malade.


derrière l'écran se cache...
« scintillante pixellisation »

FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ 121012095718589993
• PRÉNOM ou PSEUDO Stéphanie-Amalia (oui, c'est mon vrai prénom 'o')
• ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS Euhhh... Bref.
• PARRAINÉ ? (si oui, par qui ?) Si oui ? Et bah nan 8D /pan/
• DOUBLE COMPTE ? Premier compte °°
• CODE ? OKAY
• C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE Je n'aime pas le rap x_x (Enfin ça dépend 8))


Dernière édition par Nana Ishikawa le Dim 4 Nov - 20:06, édité 30 fois
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Kynaeku Takeda
Kynaeku Takeda
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FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Vide
MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeVen 12 Oct - 18:30

:welcome:

Que dire de plus? Si ce n'est bon courage pour ta fiche !
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Nana Ishikawa
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MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeVen 12 Oct - 18:58

Ha ha, merci beaucoup ! 8D
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Akira Shimizu
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MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeVen 12 Oct - 19:46

BIENVENUE.
Bonne chance pour la suite de ta fiche, très bel avatar ! =)
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FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Vide
MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeSam 13 Oct - 5:42

Bonne chance poulette :3
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FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Vide
MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeSam 13 Oct - 8:06

Omg Diam's. *a failli recracher son café en s'étouffant* xD
Bonne chance pour ta fiche!
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Nana Ishikawa
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MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeMar 23 Oct - 6:41

Spoiler:


Edit ~

Après 28 éditions, à 8h40, je déclare cette fiche finie 8) *larme qui perle*

Re edit > Merde. Il est 8h41 ToT
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Nana Ishikawa
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MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeDim 4 Nov - 13:26

13 jours hum... Up ? °°

*je sais que vous êtes occupés, juste histoire d'être sûre de ne pas être oubliée dans le lot*
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Kain Okada
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MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeDim 4 Nov - 13:51

Pardon, on est pas occupées (ou si fin c'est les vacances). Gros trou dans le staff avec 3 presque 4 absents, actuellement je m'occupe: des chambres, des fiches, des partenariats et je dois bosser à côté --'
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MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeDim 4 Nov - 13:57

Ah d'accord, mais c'est normal je peux comprendre ! C'était juste pour éviter de passer à travers le filet xD Et en même temps dire que je suis toujours là o/

Bon courage ;)
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MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeDim 4 Nov - 19:31

Merci de le préciser :) Juste tu peux mettre l'icon 'terminée' pour le signaler au staff ? Thx ♥
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FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Vide
MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeMar 6 Nov - 21:31

BON. BON. JE SAIS QUE C'EST INTERDIT. MAIS PUTAIN TON POUVOIR EST AWESOME. JE SAIS QUE JE DOIS ME CONCERTER AVEC LES AUTRES PERSONNES DU STAFF. JE SAIS QUE CE QUE JE VAIS FAIRE EST RISQUAY. JE SAIS QUE J'AI UN PLUS GROS ZIZI QUE KAZU. MAIS. MAIS. PUTAIN, ON PEUT PAS DIRE NON À CE POUVOIR OMFG C'EST AWESOME.

Donc. Malgré le fait que je sois sensé me concerter avec les autres modos, je vais valider ton pouvoir. Parce que :
1- Il est so awesome
2- J'y vois aucun inconvénient majeur en fait
ET BIEN SÛR 3- Ça fait plus de quinze jours que tu attends ta validation, je vais pas me permettre de te faire attendre plus longtemps.
Je vais ajouter ton pouvoir à la liste des Heart's Key, et comme tu me l'as demandé, personne ne pourra prendre ton pouvoir : il te sera réservé :cool:

Donc, donc, donc, donc, DONC. Une de nos Admins qu'on aime fort ( Me frappe pas Kain pour l'avoir validée illico ( Tiens, en plus je te donne un keur tout rouge et gras et en size 29, si c'pas une preuve d'affection ;w; ) ) va venir te donner ta couleur & tes Ceriz' de validation ♥️
Et DONC tu vas pouvoir RP, mais aussi faire ta fiche de liens ou bien accéder à un club. C'est-y pas génial ça? 8D

Citation :



Amuse toi bien à Aomori ♥️
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MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitimeJeu 8 Nov - 19:59

    OH GOSH TON INSOLENCE ET TON AUDACE TE MENERONT A LA GLOIRE OU A TA PERTE JEUNE SASY DES MONTAGNES !

    Mais ce pouvoir - bizarre - ne présente pas d'inconvénient, je t'ajoute donc ta couleur et je m'excuse encore de ce retard, départ en vacances oblige ♥
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MessageSujet: Re: FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~   FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~ Icon_minitime

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FINIE ! "Car la plus laide des chenilles deviendra un magnifique papillon" ♥ Nana Ishikawa ~

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