le petit oiseau va sortir ~

• NOM Obayashi • Prénom(s) Aisa • AGE 15 ans • CIVILITE Célibataire et ouverte à toutes les propositions • SCOLARITÉ 1ère année • SEXUALITÉ Hétéro • GROUPE Garden's Key • POUVOIR Forêt Enchantée

ma poire belle Hélène

« salade de fruits jolie jolie jolie ♪ »

Plutôt mignone et un peu gamine, c'est là, en gros, ce que l'on peut penser d'Aisa la première fois qu'on la voit. C'est vrai qu'avec son 1m30 et ses 35 kg, il est difficile de la prendre pour une jeune fille de quinze ans. Pourtant, c'est bien ce qu'elle est. Sa peau est légèrement plus pâle que la moyenne et ses grands yeux noisettes en amande attestent ses origines japonaises. Elle agrémente souvent ses cheveux courts, couleur chocolat, de petits rubans ou de barettes colorées. Sa petite bouche n'est jamais maquillée (car elle a peur d'avaler son gloss) et affiche souvent un petit sourire distrait. Les traits de son visage sont assez communs et lui iraient parfaitement si elle avait trois ans de moins.
Tout dans cette jeune fille clame haut et fort : "Je suis une gamine! Je suis une gamine, j'assume et j'en suis fière!". Comme on l'a déjà dit, Aisa est toute petite et toute menue pour son âge. Pas beaucoup de graisse mais pas beaucoup de muscle non plus. Vue comme ça, on la croit toute fragile, comme une poupée de porcelaine. Et bien, c'est le cas. En effet, physiquement, Aisa est incapable d'accomplir des exploits de force ou d'endurance. C'est d'ailleurs cette faiblesse qui est son seul complexe. Elle a beau faire de son mieux, elle est toujours la dernière dés qu'il s'agit de sport. Cette faiblesse se retrouve dans sa posture tout comme sa légère timidité. En public, avec du monde autour d'elle, elle se tient toujours bien droite, un peu figée, les jambes collées l'une à l'autre, les mains jointes devant elle ou derrière son dos. Mais, seule ou avec ses amis, elle s'anime joyeusement et se relache, comme n'importe qui d'autre.
Aisa n'a qu'une seule exigence avec ses vêtements. Peu importe la couleur, même si elle préfère largement les teintes vives et pastelles, sa seule contrainte est de toujours, mais alors vraiment toujours, toujours porter quelque chose qui ressemble à une robe ou a une jupe. Personne ne sait pourquoi, même pas elle, mais jamais vous ne la verrez affublée d'un jean et d'un T-shirt court ou d'un survêtement simple. Elle n'a rien contre les pantalons, au contraire, mais c'est comme ça. Elle adore tout simplement montrer ses jambes fines qu'elle trouve trés jolies malgrés leur faiblesse. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle elle adore l'uniforme du pensionnat qui lui va a ravir selon elle.

mylife.com

« ôtons nos masques le temps d'un instant »

Vous connaissez le dicton "on ne juge pas un livre à sa couverture", n'est-ce pas? Eh bien ce dicton est sûrement un des plus véridiques qui soit. Les choses sont rarement ce qu'elle semblent être au premier abord et, en ce qui concerne Aisa... c'est le cas. Mentalement, Aisa est précisément ce qu'elle semble être : une gamine. Oh, bien sûr, elle réfléchit et s'exprime comme une jeune fille de quinze ans mais allez lui parler deux minutes et essayez de lui faire comprendre que les dessins animés et les jeux pour enfants ne sont pas de son âge! Elle n'écoutera pas, esquivera tous les arguments et ira s'amuser en vous boudant si vous insistez trop. Pas de complexes de ce côté là, elle n'hésite pas à montrer son coeur de petite fille à tous ceux qui poseront la question. Oui, elle aime les gâteaux, les sucreries, la musique de C-ute et de Berryz et les shojos animes. Non, elle n'aime ni le shopping, ni la mode, ni le métal ni les films d'horreur. "C'est à prendre ou à laisser!" vous dira-t-elle si vous lui faites la remarque sur ses goûts étranges. Pourtant, ceux-ci ne sont pas si figés que cela. Elle est suffisament ouverte pour essayer de nouvelles choses et suffisament intelligente pour mettre ses préjugés de côté le temps d'un essais. Cependant, si ensuite elle vous dit qu'elle n'aime pas, n'insistez pas, elle ne changera pas d'avis. En tout cas, pas tout de suite.
Evidemment, ce n'est là qu'une part restreinte de sa personnalité. Derrière son côté amical et impudique, Aisa est d'une timidité assez praticulière. Mettez-la dans une pièce pleine de monde et elle s'isolera dans un coins, sans oser parler à qui que ce soit. Adressez-lui la parole et, timidité envolée, elle agira comme si elle vous connaissais depuis toujours. Appelez deux ou trois personnes pour vous rejoindre et elle redeviendra quasi-invisible. Ce comportement est, en réalité, une "stratégie involontaire" qui cache son plus gros défaut : cette sympathique jeune fille est incapable de se souvenir du prénom ou du visage de quelqu'un, à moins de le connaître et de lui avoir parlé régulièrement depuis plusieurs semaines. Aisa en est bien consciente et c'est pour éviter la honte du "désolée, c'est quoi ton nom, déjà?" qu'elle ne reste jamais avec plus d'une ou de deux personnes à la fois, pour pouvoir mieux retenir leur identité. Mais cela n'empêche pas certaines situations assez génantes, comme le fait de ne pas reconnaître le visage de sa prof d'anglais ou de ne pas savoir les prénoms de ses camarades de classe... A la fin de l'année scolaire.
A part cela, que dire d'elle? Ah oui, il reste deux points importants à évoquer! Aisa est aussi innocente qu'un oisillon sortit de l'oeuf. Naïve et trop gentille, elle n'a aucune protection envers la dure réalité du monde qui l'entoure et risque à tout moment de... Non, là je blaguais. Plus sérieusement, il est vrai qu'Aisa a des tendances assez naïves et qu'on peut profiter d'elle si l'on est suffisament sournois et malin. Elle n'hésite jamais à aider quelqu'un dans le besoin et se donne sans compter pour ceux qu'elle considère comme ses amis. Mais ce n'est pas pour cela qu'il faut la croire trop faible. Croyez-le ou non, mais les mangas et animes qu'elle avale a longueur de temps recèlent plus d'expériences de la vie que certains pensent. En théorie, elle connaît les manipulations, les stratagèmes, les pièges et autres duretés et sait reconnaître quand quelqu'un manque de finesse pour ce genre de choses.
Et enfin, le dernier point, celui que vous attendiez tous avec impatience : Aisa est * roulements de tambour *... Romantique! Oups, j'ai fait un bide, là? Pourtant c'est bien vrai et c'est une qualité (ou un défaut) qui mérite que l'on s'y attarde. C'est bien cela, notre gamine est romantique. Comme dans ses histoires pour enfant, elle rêve d'un beau prince venu l'emporter sur son cheval blanc... Ou plutôt d'un beau mec du pensionnat, de préférence plus âgé (même si ce n'est pas grave vu son apparence), qui accepterait de sortir avec elle. Elle a une idée trés idéalisée de l'amour et peut être facilement déçue en cas d'échec. Alors, pour les jeunes messieurs qui voudraient tenter leur chance, n'hésitez pas!

PÈRE CASTOR ♪

« il est temps d'arrêter le temps »

Née un beau matin de printemps, il y a quinze années, Aisa s'est tout de suite fondue dans la masse. Fille unique d'une famille moyenne, elle n'a jamais connu ni le luxe ni la pauvreté. Elève standard, tout juste dans la moyenne, elle avait un petit groupe d'amies avec qui elle partageait trés peu de choses. Dés la maternelle, une grande peur d'être rejetée et mise à part l'a poussé à adopter le comportement des autres pour leur plaire. Pas de décisions trop personelle, pas de style trop différent, pas de sujet de conversation trop divergeant. Une fille banale parmis d'autres filles banales. Elle n'osait jamais dire que quelque chose lui plaisait ou pas avant de connaître l'avis de ses camarades et gardait constament un oeil sur les modes et tendances en cours, bien que cela la dégoutât au plus au point. La peur du rejet était trop forte. Même avec ses parents qui, pourtant, était aimants et compréhensifs, elle ne pouvait s'empêcher de jouer la comédie. Il n'y avait vraiment que lorsqu'elle était seule, dans sa chambre ou, parfois, dans un coin isolé du parc non-loin de chez elle, qu'elle se laissait aller à être vraiment elle-même. Parfois, lorsqu'elle se sentait trop incomprise, il lui arrivait de s'imaginer des amis en la présence d'animaux ou de plantes. Elle aimait beaucoup les fleurs. Les conversations qu'elle s'imaginait avec elles lui parraissaient tellement plus réelles et agréables que son comportement hypocrite habituel. Cette sensation croissait tandis qu'elle grandissait. Parfois même, un simple regard vers une plante en pot lui donnait un semblant de courage lorsqu'elle était fatiguée. Elle était loin de s'imaginer ce que signifiait cette douce sensation d'amitié...
Elle avait, à l'âge de quatorze ans environs, sur le bureau de sa chambre, un minuscule rosier blanc dans un pot de fleur auquel elle avait pris l'habitude de parler lorsqu'elle était seule et dont elle prenait grand soin. Se laissant aller à son véritable caractère, elle l'avait secrètement nommé Yūjin (ami). Quelle ne fut pas sa surprise lorsque, un jour, alors qu'elle en voulait fortement à l'une de ses amies qui avait insulté son mangaka préféré et qu'elle n'avait pas sut protester, tandis qu'elle contait sa tristesse à son rosier, celui-ci se mit à bouger! Mise en rogne par sa journée, elle avait souhaité de toute ses forces avoir quelqu'un à qui parler. D'abord lentement, les branches de l'arbuste commencèrent à s'écarter pour dégager le petit tronc, ramenant les fleurs au sommet telle une épaisse chevelure blanche. Le bois se mouvait doucement, comme les muscles d'un chat saillants sous sa peau. Et, après quelques minutes de cette gymnastique, deux creux se formèrent dans la tige, suivis par une sorte d'entaille horizontale juste en dessous. L'ensemble ressemblait vaguement à un visage. Aisa était interdite. Trop effrayée pour bouger, trop fascinée pour crier. Le "visage" cligna des yeux d'un air presque aussi stupéfait qu'elle. L'entaille s'ouvrit en grinçant légèrement et un drôle de son en sortit.
- ... A... Za...
Le bruit était ténu et grave, mais trés vite, il prit une sorte de contenance et la jeune fille put comprendre.
- Ai...za... Aisa... Aisa?
Trop effrayée pour parler, elle hocha la tête en tremblant. Les bords de l'entaille remontèrent légèrement, comme pour sourire.
- ... Merci...
Aisa ne mit pas beaucoup de temps à comprendre que c'était elle qui avait donné vie à Yūjin. Son petit rosier blanc pouvait à présent bouger, parler, voir, entendre et ressentir des émotions, comme une vraie personne. Il était même capable de détacher une de ses branches qui pouvait ensuite marcher. Et pas moyen de savoir comment lui rendre sa première apparence (ce qui ne dérangeait pas l'arbuste qui n'avait pas du tout envie de se retrouver à nouveau muet et immobile). Ce locataire un peu spécial fut d'abord encombrant pour Aisa mais, peu à peu, elle s'habitua à sa présence et en vint même à le considérer comme son meilleur ami avec qui elle pouvait parler et être elle-même contrairement à d'habitude.
Elle parvint à tenir son existance secrète pendant près d'une demi-année. Durant cette période, Yūjin développait sa personnalité et se liait d'amitié pour la jeune fille qui le lui rendait bien. Mais un jour, lassé de devoir attendre toute la journée qu'elle revienne de l'école, l'arbuste détacha une de ses branches et l'envoya se glisser dans le sac d'Aisa. Si elle se rendit rapidement compte de sa présence, elle fit mine de rien, s'assurant simplement que la branche animé était bien cachée. La journée ne se passa pas trop mal. Ses camarades de classe était toujours aussi banales qu'à l'accoutumée et elle agissait tout aussi banalement. Malheureusement, la branche était un peu trop curieuse et manqua de discrétion en passant la fleur qui lui servait de tête par l'ouverture du cartable. Une fille de la bande l'apperçu tandis qu'elle retournait se cacher en vitesse. Le soir venu, alors qu'Aisa allait se promener au parc après les cours, ses camarades la suivirent de loin. Ne se doutant de rien, elle chercha un coin tranquille pour laisser sortir la branche. A peine celle-ci fut-elle dehors que...
- Vous voyez? C'est une sorcière! C'est une sorcière!
La jeune fille n'eut pas le temps que comprendre ce qui lui arrivait. Les cinq filles de sa bande se précipitèrent sur elle en la traitant de tous les noms. L'une d'elle piétina allègrement la branche de rosier tandis que les autres tiraient ses cheveux et frappaient la pauvre Aisa qui ne savait plus que penser. Terrorisée, elle souhaitait plus que tout qu'on lui vienne en aide. Les jeunes tortionnaires ne virent pas les arbres derrière elles s'animer, ni leurs branches se tendre vers elles pour les emprisonner. En moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire, les cinq filles étaient coincées entre les branches et Aisa était libre. Elle courrut jusqu'à chez elle, non sans avoir remercié les arbres et leur avoir demandé de relâcher ses camarades une fois qu'elle serait loin. Une fois dans sa chambre, elle se mit à pleurer et conta sans retenue sa mésaventure à Yūjin qui se sentait terriblement coupable. Elle ne lui en voulait pourtant pas. Cette nuit-là, elle se retournait tout ce qui s'était passé dans sa tête. Elle avait tout fait, depuis toute petite, pour être comme les autres et plaire. Elle avait renoncé à une personnalité qui lui était propre pour le conformer aux normes des autres élèves. Pourtant, cela n'avait pas empêché celles qu'elle considérait comme ses amies de s'en prendre à elle comme si elle n'était une sale ordure dégoutante. Si cela n'avait servit à rien de jouer la comédie, pourquoi devrait-elle continuer?
Elle ne retourna pas en cours par la suite. Dés le lendemain, elle avoua tout à ses parents qui, bien que légèrement intimidés par les pouvoirs de leur fille, l'aimaient et la comprenaient. Elle termina son année scolaire avec des cours par correspondance et ne chercha plus jamais à ressembler à ce qu'elle n'était pas. Fini la comédie! Elle pouvait à présent être ce qu'elle était sans se gêner. Alors, elle entendit parler du pensionnat Aomori par une publicité. Un endroit pour les gens qui n'étaient pas comme les autres. Un endroit pour les gens... comme elle. Décidée à ne pas rester enfermée à prendre des cours par correspondance, elle demanda immédiatement à ses parent d'y aller et, devant les yeux brillants d'espoir de leur fille, ils acceptèrent. Cela ne lui prit pas beaucoup de temps pour s'inscrire, pourtant elle fut acceptée sans problèmes.
Aisa entre au pensionnat à la rentrée. Elle a prit Yūjin avec elle et est bien décidée à ne plus jamais subir ce qui s'est passé autrefois, à ne plus jamais être quelqu'un d'autre. Pourtant, certains doutes la guettent. Arrivera-t-elle vraiment à se faire aimer en étant la gamine qu'elle est? Ou est-ce que ce sera encore pire qu'avant?

SO AWESOME

« je suis comme je suis, à prendre où à laisser »

Alors là, c'est facile : Aisa donne vie aux plantes. Mais pas "vie" dans le sens scientifique du terme, son pouvoir n'a aucun effet sur une graine ou un arbre mort. Non, "vie" dans le sens "bouger, avoir une âme, une personnalité". Si Aisa le désir trés fort, elle peut animer et faire parler une plante.
Si cette plante est en pot, elle ne peut pas se déplacer. Mais si elle est dehors, elle peut bouger grâce à ses racines, mais pas sortir de terre, à moins de vouloir se suicider. Les arbres et les arbustes peuvent laisser partir une de leurs branches qui s'animera indépendament mais finira par faner et mourir, faute de nutrition.
Une plante animée par Aisa ne pourra pas s'empêcher de la considérer comme une amie, peu importe ce qui se passe. Histoire de reconnaissance et tout ça, un peu comme un enfant qui ne peut s'empêcher d'aimer ses parents. Et d'ailleurs, la jeune fille ne s'en plaint pas, elle adore la compagnie.
Comme il est dit dans son histoire, Aisa ne contrôle pas vraiment son pouvoir. Il réagit à sa volonté mais elle ne sait pas vraiment comment l'utiliser consciement. En danger, en état de profond malaise ou trés en colère, il peut se déclencher par inadvertance ce qui crée des tracas pour la jeune fille. Pour le faire d'elle-même, il lui faudrait être dans un état de concentration et de volonté intense dont elle est incapable pour le moment. Et, de plus, il est tout simplement impossible pour Aisa de rendre leur état original aux plantes qu'elle change. Avec du temps et de l'entrainement, peut-être que cette compétence se développera mais, à l'aube de sa première année, son pouvoir est comme un bouton de fleur qui pousse en-dehors de son buisson, impossible à couper, petit et juvénile mais de trop pour quelqu'un d'ordinaire. Espérons que ce petit bouton saura fleurir et trouver sa place parmis les feuilles!

derrière l'écran se cache...

« scintillante pixellisation »

• PRÉNOM ou PSEUDO Céleste • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS Maladroite, tête en l'air, bien attentionnée, paresseuse, prend souvent du temps pour répondre... Ah, et je bosse pas mal pour l'école alors je ne suis pas là méga souvent mais j’essaierai quand même d'avoir une présence régulière. • PARRAINÉ ? Nan. • DOUBLE COMPTE ? Nan plus. • CODE ? That's it babe ♥ Hikari valide ! • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE Finally! I'm done!