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 I hate you, fine living without you. (ou pas ?) {ft. Reiji Mutsuyo}

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I hate you, fine living without you. (ou pas ?) {ft. Reiji Mutsuyo} Vide
MessageSujet: I hate you, fine living without you. (ou pas ?) {ft. Reiji Mutsuyo}   I hate you, fine living without you. (ou pas ?) {ft. Reiji Mutsuyo} Icon_minitimeMer 25 Juil - 19:49















I hate you. Fine living without you. (ou pas ?)

«Regarde autour de toi. La dernière fois que je suis passé ici, il y a quelques années, c'était un joli petit village. Puis, je sais pas ce qu'il y a eu. Inondation, éboulement, feu de forêt ? Une chose est sûre, tous les villageois sont morts. Qu'ils aient péri dans des batailles, des maladies ou des famines, aujourd'hui leurs esprits épouvantés font frémir la région toute entière. Tu dis que tu es victime d'un maléfice, c'est ce monde qui est maléfique. »
Jiro, Princesse Mononoke.





8h30 du matin et Solveig ricane. Elle jubile intérieurement, elle se sent un peu comme la Team Rocket ayant enfin réussi à ravir Pikachu. Comme Bowser triomphant enfin. Ganondorf s’emparant des trois parties de la triforce. Elle rit du mauvais tour qu’elle a joué à son pire ennemi ; Reiji Mutsuyo. Rien que son nom agite des soubresauts dans sa nuque. Dans son esprit. Tremblement de terre en elle-même. Elle plisse les yeux dès que son nom se glisse dans la conversation.

C’est fou comme elle le hait.

Et c’est réciproque. Terriblement réciproque, même. Suffit de voit comment il lui cause.
Il lui rappelle tant James. Un pauvre abruti dont elle était follement amoureuse en début de collège. Avant qu’il ne s’avère n’être qu’un beau connard dénué du moindre esprit. Et qu’il ne commence à la tourmenter, mais cela est une autre histoire. Solveig jeta un coup d’œil à son portable ; dévorant des yeux un nouveau sms de Jon. Elle pianota rapidement un petit « Hey devine quoi spèce de schlag, j’ai chopé le bracelet de l’autre boloss ! ». L’autre boloss. Reiji. Oui, Solveig jubilait. Sûrement que le brun s’en fichait, de ses stupides altercations avec l’autre roux débile. Il se demandait même si ce n’était pas inquiétant, cette obsession pour le jeune-homme. La jeune-femme se posait la même question. D’habitude elle se contentait d’éviter les personnes qu’elle n’appréciait pas ; mais là, c’était différent. Sans la possibilité d’embêter Reiji, elle se sentait si creuse, si vide. Que c’en devenait purement badant. Maso ? Non. Pas du tout.
En tout cas, lorsqu’elle s’était aperçue – alors qu’elle marchait derrière lui – qu’il avait laissé tomber son bracelet fétiche elle avait sauté sur l’occasion. Littéralement parlant. Raflant le bijou entre ses griffes de sale rapace. Et en ricanant Solveig avait fui ; les cris de Reiji se cognant tout contre son dos. Il l’avait coursé. Elle avait gagné.

Solveig : 1.
Reiji : 0.

Solveig observa le bracelet métallique : allongée perpendiculairement à l’axe de son lit, le bout de ses mèches noires effleurant le sol dans un doux balancier et tenant l’objet si cher au cœur de son ennemi à la pleine lumière. A bout de bras. Il était pas si moche que ça. Un peu rude, dans ses formes et dans la matière. Un truc de mec. Le métal réfléchissait la lumière sur le mur, et elle s’amusa à le faire tourner entre ses doigts. Pleins de points de lumière partout. Au plafond. Sur sa table de chevet, sur son oreiller. Elle vérifia l’heure sur son portable et checka un nouvel sms. Une pub. Fuck it. Ce dont elle était sûre, c’est que bientôt, Hikari débarquerait dans la pièce. Et lui demanderait si l’objet qu’elle tenait entre ses mains n’était pas un quelconque emblème de la mafia où elle sévissait avant. Ou un truc de ce genre.
Un raffut léger parvint à ses oreilles. Ohoh, il était grand temps d’aller prendre une petite douche. Elle saisit sa serviette et tout son matos. Puis passa le bracelet à son poignet. Avant de quitter la chambre à pas feutré, ses vêtements, son shampooing, sa serviette et ses divers biens dans un équilibre précaire entre ses bras. Puis quelque part au milieu du tas ; tulutulutu. Rah, putain de portable. Pas l’temps.

La jeune-femme arpenta les couloirs à pas feutrées, veillant à ne pas croiser le chemin de Reiji. L’élément principal de sa petite vengeance si bien planifié. Rire maléfique. En même temps, l’autre fêlé devait sans doute dormir au lieu de déambuler dans le pensionnat un dimanche matin. A neuf heures.
(en vérité, elle ne savait pas trop quoi faire du bijou qui se balançait à son poignet. Elle n’avait rien prévu, et ne comptait sûrement pas faire du chantage ou quoi que ce soit de ce genre au roux. Au fond d’elle-même. Très au fond. Non, creuse encore. Un peu plus. Plus loin. Voilà, là. Tout au fond, elle l’aimait bien.)
Je te hais de façon amicale.

Solveig soupira en gagnant la salle d’eau. Elle se sentait comme heu. Comme une agente secrète infiltrée pour dérober l’objet de la mission ; le maléfique bracelet de fer tombé de la poche du chef des yakuzas, Reiji Mutsuyo. (rpz). Tout en continuant à délirer de façon inhabituelle, la jeune-femme se débarrassa de sa chemise de nuit prestement. Les couches de tissus inutiles s’écrasèrent sur le sol avant qu’elle ne les regroupe, les pliant rapidement avant de les fourrer dans un casier, au côté de ses vêtements de rechange. Elle se glissa dans la première cabine de douche qui s’imposa à sa vue et soupira d’aise lorsque les premiers jets d’eau se jetèrent à l’assaut de son corps.

(Je vous passe les détails, bande de voyeurs ! –décède-). Finalement, elle s’enveloppa dans sa serviette après avoir arrêté le flux et sortit de sa cabine. Personne. Pas étonnant, il devait être quoi, 9h ? Même pas. Elle avança vers son casier afin d’y prélever ses vêtements sauf que. Le casier était vide. Oh non.

Un doute s’infiltra dans son esprit. Elle se retourna lentement. Et tomba nez-à-nez avec une chevelure rouge. Un sourire moqueur. Et ses vêtements.

- TOI ! hurla Solveig.

Définitivement, je te hais.
Solveig : 1
Reiji :1

















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Reiji Mutsuyo
Reiji Mutsuyo
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I hate you, fine living without you. (ou pas ?) {ft. Reiji Mutsuyo} Vide
MessageSujet: Re: I hate you, fine living without you. (ou pas ?) {ft. Reiji Mutsuyo}   I hate you, fine living without you. (ou pas ?) {ft. Reiji Mutsuyo} Icon_minitimeMer 25 Juil - 21:08

Décidément, Solveig est une fille plus casse pied que je le pensais. Je ne peux pas me la supporter. A la base les personnes insupportable comme elle je les ignore. Mais elle est tellement insupportable, que je suis obligé de faire attention à ses mauvaises blagues. Impossible de la zapper complètement.
Tout d’abord je n’ai pas aimé la façon dont elle me parle pour une raison complètement absurde. Pour moi, ce n’est pas parce qu’une personne te rappel quelqu’un qu’il faut forcément mal lui parler. De plus elle me prend pour un roux alors que mes cheveux sont teints en rouge. EN ROUGE PAS ORANGE ! Mh bref, ce n’est rien, ça prouve juste sa débilité profonde. Moi au moins je sais que je ne suis pas roux, mais brun et que je teins mes cheveux en rouge, si elle ne veut pas comprendre ça tant pis pour elle. De toute façon le pire n’était pas là. Le pire du pire, c’est dans la situation dans laquelle je me trouve en ce moment même. Cette g**** , cette s***** … Hum, bref cette fille que je ne peux pas supporter, à réussie à prendre mon bracelet que j’ai égarer à peine pendant quelque seconde seulement et à réussie à me fuir. Je n’ai pas pu la rattraper malgré le fait que je sois un sportif à cause de plusieurs personne qui ont réussie à me barrer la route, ce qui a fait une baston général qui m’a coûté un convocation et un avertissement. On peut dire que j’ai eu chaud, mais il faut que je retrouve se bracelet. Ce bracelet été dans mon berceau quand on m’a retrouvé sur le trottoir, ce bracelet et le seul lien que j’ai envers ma famille inconnue, voir même à mes parents. Pour le moment j’ai toujours eu comme hypothèse que ce bracelet appartient à mon père inconnue étant donné que s’est un bracelet d’homme. De plus le bracelet que je portais enfant avec mon identité dessus n’est plus portable, il ne me reste donc plus que ce bracelet qu’il faut que je le récupère à tout prix par n’importe quel moyen. Le faite de savoir qu’il est entre de mauvaise main me rend malade.
Je frotte nerveusement mon poignet où devait être censé avoir mon bracelet. Nerveux je fais le tour du pensionnat cherchant partout mon bracelet et regardant chaque poignet de chaque personne au cas où que Solveig l’ai donné à un élèves. Rien, pas une seule trace de mon bracelet, je serre les dents, nerveux et colérique à la fois. Mais un petit espoir commence à venir.
Il est dans les environs de 8h30 / 9h, et j’aperçois cette fille que je ne supporte pas, se diriger vers les douches avec mon bracelet à son poignet. Je serre les dents, elle va payer très cher, vraiment. Je la suis très discrètement sans me faire remarquer, une fois arrivé au douche, je repère bien attentivement son casier et attend qu’elle aille à la douche. Aussitôt dit aussitôt fait j’entends l’eau couler, ce qui me donne le feu vert pour ma vengeance. La capuche noir sur ma tête je vais silencieusement à son casier dont je force l’ouverture, je trouve alors les vêtements de Solveig, mais pas mon bracelet. Mes nerfs montent à nouveau, elle a dû l’emmener à la douche avec elle.

« Tssss. »

Je commence à tenter de me calmer pour ne pas péter mon câble, quand une idée saugrenue traverse mon esprit. J’en ricane d’avance en laissant exprimer et sourire diabolique. L’idée est très simple, je vais prendre tous ses vêtements pour me venger, mais aussi pour récupérer mon bracelet qu’elle a très certainement sur elle. Le meilleur moment est venue, la jeune fille sort de la douche, je l’attends de pied ferme, le sourire sadique aux lèvres, tenant ses vêtements d’une main. Elle se retrouve face à moi et sa réaction était des plus satisfaisantes. Avec seulement la serviette autour de sa taille elle me hurle dessus.

- TOI !

Mon sourire sadique s’accentue accompagner avec un petit ricanement satisfait de mon idée. Je lui dit donc d’un air provocateur et lui montrant ses vêtements.

« C’est ça que tu cherches ? »

Un léger soupir d’amusement sort de ma bouche.

« S’est embarrassant n’est-ce pas ? »

Je reprends soudainement un air sérieux, revenons au chose plus sérieuse qui me préoccupe le plus. Je lui dit d’un ton sec et menaçant.

« Rend moi mon bracelet. »
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I hate you, fine living without you. (ou pas ?) {ft. Reiji Mutsuyo}

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