le petit oiseau va sortir ~

feat - Création originale / by Ibara Riato

• NOM Tashi • PRÉNOM(S) Ariel, Gaëlle • AGE 16 ans. • CIVILITÉ Célibataaaaaaiiiiire o/ • SCOLARITÉ 2e année. • SEXUALITÉ Hétérau • GROUPE Heart's Key • POUVOIR Sirène

ma poire belle Hélène

« salade de fruits jolie jolie jolie ♪ »

Quand on voit Ariel, elle donne une impression assez sympathique quoique assez bizarre pour sa démarche dans les couloirs. Elle est discrète et préfère ne pas se faire trop remarquer. Elle fait tout. Mais souvent, on ne voit qu’elle. Pas maline me diriez-vous ? Forcement, elle porte de longues robes, plutôt bien ouvragée, avec des froufrous et des rubans.
Tout porte à croire qu’elle à l’âge minimum pour entrer au pensionnat Aomori. Oui oui, elle à la taille d’une fille de quatorze ans. Non non, elle en a seize. Si elle parait jeune, c’est qu’elle à cessé sa croissance tôt. Elle a tout d’une fille de quatorze ans : son visage, sa taille… Excepté sa poitrine qui elle, est celle d'une fille de 17 ans. Et aussi ses cheveux qu’elle n’a coupés que lorsqu’elle eût des fourches. Depuis, elle n’en a plus. Malgré sa forme fine et élancé, elle est musclée. Ses entraînements de natation lui ont formé des petits biceps, qu’elle n’hésitera pas à utiliser si on l’a force.

Sa démarche est plutôt louche. Quand tu vois une jeune fille avec des cheveux saumon clairs, qui chancèle et menace de tomber à chaque fois, tu te méfies. De peur de tomber nez-à-nez avec une bourrée sortant d’un cabaret illégal o/ . Mais cette allure étrange est due au fait qu’Ariel s’entraîne très souvent à la piscine pour maîtriser son pouvoir. Elle sort de l’eau, sa queue disparaît et elle a du mal à marcher après. C’est à ça que sert Aomori ( éwé mes poulets *w*).

Le visage de la jeune fille est hexagonal et blanc. Porté de traits fins, comme ouatés. Elle à des cheveux couleur saumon clair. Elle n'a jamais teint ses cheveux... Cette couleur est arrivé à peu près en même temps que son pouvoir. Ils étaient blonds avant. Elle n'a jamais su d'ou venait cette couleur insolite (quoique, si l'homme aux cheveux roses était son père, elle pourrait tenir c'ette petite teinture de cet homme? Ou une personne ayant le pouvoir teinture qui ne savait pas utiliser ses pouvoirs l'a peu-être croisé? Vas savoir.) et, le jour ou elle a demandé a un coiffeur de lui en changer, il n'a rien pu faire. Finalement elle s'est habituée à cette coloration. Et ça lui va à ravir non? Elle les coiffes tous les matins : pas question qu’il y ait des nœuds dans ce satin naturel ! Doux. Ondulant à chaque pas de la jeune fille. Pourtant dans son visage gît un trait insolite : ses yeux. Ils sont orange, tirant sur le rose-rouge. Eh non, ce ne sont pas des lentiles colorées comme beaucoup l'ont pensé! D'après le vieux qui s'est occupé d'elle pendant trois ans, cela vient de son "pretendu" père. Ariel pourra penser ce qu'elle veut: elle ne l'a jamais vu.
Des yeux de braise pour une peau claire. Un peu comme l’union d’un démon et d’un angelot.
Contre toute attente (ou pas) cet union fait aussi partie du caractère d’Ariel .

mylife.com

« ôtons nos masques le temps d'un instant »

Ariel est sympathique.
Qui est un monstre.
Quand elle le veut ou pas
Un jour –béni HALLELUJAH-elle peut se montrer généreuse et bienveillante. Quand au lendemain ? Pareil ? Encore un jour béni du ciel ? Non. Tout l’inverse. Envoyer paitre camarades et professeurs. Dans les jours –maudits, disons- mieux vaut ne pas s’approcher de la demoiselle. Si elle savait contrôler le feu, faire tomber la foudre, ou tout simplement manier un flingue, vous seriez mort en moins d’un dixième de seconde. Pauvre tout le monde, ne vous approchez pas !

Ce qu’elle aime ? Ne pas être vue. Oui mais pas que ! Elle aime également plein de choses, mais on ne va pas en faire la liste. Elle aime les poissons, le corail, les bijoux, les rubans, le satin, les garçons, les jours bénis du ciel, les personnes susceptibles de devenir ses amis… Elle préfère qu’on ne voie pas son pouvoir. Ca l’a toujours rendue mal à l’aise de voir le regard septique des autres sur sa queue de poisson azurée.
Quand son pouvoir s’est manifesté, elle n'a pas pu en parler, ni même de qui elle tenait ce pouvoir. Elle n'aurait jamais osé demander à ses grands parents! Stricts comme ils sont! Peut-être qu'elle tient ça de sa mère? De son père? Elle ne les a pas connu. Seule ce vieux grincheux l'avait vu... Et c'est celui qui l'a conduite à Aomori. Ariel s’est tout de suite trouvée anormale quand elle a découvert son pouvoir et les trois années qui ont suivis. Pas comme certains qui, sans doute, ont essayé de l’ignorer. Avec le pouvoir Sirène à tes cotés, difficile d’ignorer une queue de poisson dans ton bain ou des écailles translucides qui apparaissent au clapot de la pluie.

Dans la vie quotidienne, elle à un caractère bien à elle. Difficile pour la nourriture, difficile pour les vêtement... Difficile pour choisir ses amis... Un peu difficile en tout! Elle est végétarienne. Elle ne supporte pas la viande. Attention, dans ses jours bénis, elle vous donnera sa viande à la cantine, dans les jours maudits, et bien... Elle vous l'a balancera dans la tronche avec fureur et nonchalance.
Pour les vêtements, elle à toujours porté de longues robes. Difficile oui! Difficile à trouver! Elle en à plusieurs mais si, elle en a besoin d'une nouvelle, elle en fabriquera une. Douée en couture, elle prendra en modèle une des sienne et en fera une autre. Vive la couture!
Ariel aime aussi les peluches. Même à ses dix-sept ans elle dort avec un lapin de satin blanc (oui, elle aime beaaaaaucoooup le satin). Elle le laisse dans son lit pour la journée bien sur, mais la sirène est toujours heureuse de le retrouver le soir. Sur une étagère au dessus de son lit, il y a les objets les plus importants pour elle : un peigne, un corail écarlate, un lapin de satin et une radio grande comme une poche.

PÈRE CASTOR ♪

« il est temps d'arrêter le temps »

«Mamie ? Ma maman elle ressemble à quoi ?»
Voilà la question qui revenait sans cesse aux lèvres de la petite fille. Pourtant elle n’osait jamais la faire sortir. De peur de se faire jeter. Ou de se faire disputer. Les grands parents de la petite pouvaient se montrer très sévères quand ils le voulaient. Dans les réactions qu’Ariel avait envisagé à cette interrogation, beaucoup l’a décourageait de dire même le premier mot de cette question insolite à sa grand mère. Même si le visage de celle-ci était dur comme la pierre et que la fillette ne se souvenait avoir déjà entrevue sa mère grand pleurer, elle ne pouvait s’empêcher d’imaginer la pire des réactions : la vieille dame fondre en larme. Elle préférait alors se taire, de peur de s’en prendre une. Elle repartait donc à ses occupations habituelles, dépitée. Après chaque tentatives vaines.
Ariel est née d’un père inconnu. Sa mère, après avoir accouché, est revenue au domicile de ses parents, les nerfs en pelote et un petit lapin dans les bras : Ariel. La vie seule avait été dure et éprouvante pour la jeune femme abandonnée de Cupidon et de son mari (ha le salaud!). Pourtant, l’enfant que l’imbécile et irresponsable homme lui avait fait, elle avait plus que jamais envie de le garder. Envie qui, avec le temps, s’effrita peu à peu jusqu’à devenir un maigre filet d'huile d’amour. Pauvre en tout. Qui céda sous le poids de l’insouciance. Au trois mois du bambin, la mère partie seule. Sans aucun scrupules ni remord d’abandonner ses parents et sa fille, comme l’avait fait quelques temps plus tôt, un certain « couard ». Oui, Mlle Tashi partait pour la deuxième fois de chez ses parents, à la recherche de nouvelles conquêtes amoureuse, laissant la charge de l’enfante aux mains de vieux perversvieilles personnes qui ne savaient que faire d'n enfant aux yeux corail. Finalement ils se sont décidés à ignorer la couleur incroyable de ses yeux, qui d'ailleurs donnait un charme incroyable à la petite. Ariel a donc vécu toute son enfance avec de vieux pervers ses grands-parents. Après tout le temps passé depuis le départ de sa mère, et celui plus lointain encore de son père, elle doit bien avoir plusieurs demi-frères ou demi-sœurs disséminés ! Mais elle n’a jamais voulu savoir.
La maison de la famille Tashi, on a plus tendance à l’appeler le Manoir Tashi. C’est un luxueux manoir datant déjà de plusieurs dizaines d’années, portants, de génération en génération le famille. Quand la mère d’Ariel parti, ce fût un grand choc pour les grands-parents. Et oui ! Imaginer une seconde partir du manoir Tashi ! On devrait classer ça dans la section « crime » pour ces gens tellement à cheval sur les traditions ! En même temps, elle avait raison. Tout comme sa fille plus tard, elle ne se sentait pas bien ici. Dans cette maison sur la colline. La vue est magnifique, mais la vie est pathétique. Il s’y trouve une quantité de chambre tellement inconcevable que l’ont s’y perd pour les compter. « Il a été conçu pour une famille très nombreuse ! Si ta mère était pas partie avec ce type, sans doute que toute les chambres seraient occupées ! » Quand papi disait cela, la petite Ariel était glacé de terreur. Insinuerait-il que ce serait mieux si elle n’existait pas ? Cela dit, cette vie de luxe de déplaisait pas a la petite. Elle aimait bien être traitée comme une princesse…
Vers ses neuf ans, Ariel commença à visité les alentours du « château ». Elle partait dans le village pour ramener les commissions et, à l’insu de ses tuteurs, partait dans la forêt. Ses escapades se firent de plus en plus longues et de plus en plus lointaines. Au fil du temps elle revenait même la nuit. Bien sur, ces soirs là, elle se prenait une bonne gifle et une privation de soupé mais cela l’importait peu : elle avait mangé en ville plus tôt. Elle avait même rencontré un garçon un jour. Daisuke. Ils avaient passé du temps ensemble et ils s’aimaient éperdument. Elle rentrait plus tard et s’en prenait de plus belle.
Lors d’une chaude matinée de mai, une semaine après son anniversaire qui avait scellé ses quatorze ans, elle partit dès le matin pour se promener. Les heures passèrent et le temps devenait orageux. A 13 heures, il se mit à pleuvoir. Une belle averse de printemps. Des nuages moutonnaient le ciel et faisait une ombres impressionnante sur la cité. Ariel pensa se mettre à l’abri mais l’odeur de la pluie et le clapotis saccadé de l’eau sur sa peau lui plaisait. C’était rare les averses ici. Elle comptait bien en profiter. La jeune fille attendait donc là, dans sa robe bleue, sous la pluie battante.
-EH ! OH ! Je n’ai jamais vu ça ! Jamais ! Et pourtant !
La sirène se retourna pour voir d’où provenait cette voix éraillée. Il n’y avait plus personne dans les rues, appart l vieux crouton qui avait prononcé ces paroles. Heureusement ! Sinon tout le monde aurait vu la chute phénoménale de la jeune fille. En se retournant, elle avait glissé et s’était gaufrée dans une énorme flaque. L’homme qui avait commencé un fou rire s’arrêta illico. Il parut si émerveillé que, dans la flaque, Ariel fut prise d’un fou rire. La fine béate de se vieil homme venait de raviver une flamme éteinte il y a bien longtemps dans le regarde de la jeune fille : le rire. L’homme resta bouche bée, malgré tout l’eau qui tombait. Quand Ariel cessé de pleurer et qu’elle eut calmé sa franche rigolade, elle s’observa. Finalement, elle prit la même mine que l’homme. Mesdames et messieurs, accrochez vous bien, dans la flaque qui devait arriver aux chevilles de quelqu'un debout, se trouvait une fille couverte d’écailles transparentes sur les bras et une queue de poisson au bout de ce petit corps tout frêle de terreur et de surprise.
-Tu as un pouvoir que je n’avais jamais vu avant… C’est magnifique. Tu as beaucoup de chance. Comment t’appelles-tu ?
-Co…Comment je m’appelle ? Réussi à articuler Ariel. Euh Ariel, Ariel Tashi.
-Tu à les même yeux que quelqun que je connais, enfin que j'ai connu. Il avait les cheveux rose bonbon! C'était une coloration j'imagine, mais il avait les même yeux que toi: orangés avec une pointe rosée. Viens, suis-moi.
Il emmena la sirène qui, après cette phrase, mis un temps pour réagir: un homme avec les mêmes yeux qu'elle?! Impossible! Dans une curieuse boutique, tellement discrète qu’Ariel n’y avait jamais prêté attention, il lui tendit un livre avec des noms et des dessins.
-Tiens, regarde, des années de travail acharnée!
Ariel scruta chaque pages avec attention. L’homme lui donna une serviette avant de lui annoncer : « Je te conseille de rentrer. Rentres chez toi. Ne dit à personne ce qui vient de se passer et reviens me voir demain. » C’est ce qu’elle fit. Elle revint chaque jours, pendant deux ans et demi. Chaque jours elle en appris d’avantage sur les pouvoir et leur utilisation. L’homme ne pouvait pas l’entraîner a manier son pouvoir mais surtout lui expliquer le fonctionnement et le maîtriser. Elle appris donc que lui-même avait un pouvoir et qu’il en savait beaucoup. Un jour, elle entra dans la boutique et a sa grande surprise, elle ne trouva pas le vieillard. Elle l’attendit en feuilletant les livres présent quand le tintement de la clochette se fit entendre et l’a tira de ses pensées.
-Regarde un peu ce que j’ai trouvé Ariel ! Dit-il avec une voix toujours plus éraillée.
Il tendit un bout de papier avec écrit « Pensionnat Aomori » suivit d’un numéro de téléphone. « Je t’envois là-bas ! Tu n’as rien à faire ici, il faut que tu manie ton pouvoir de sirène. »
Sur ces mots, il prit son téléphone et tapa le numéro indiqué.

SO AWESOME

« je suis comme je suis, à prendre où à laisser »

Ariel a un pouvoir voyant. Très voyant même, dans l'eau. Son pouvoir, Sirène, ne se manifeste que lorsqu'elle est dans l'eau ou quand elle touche l'eau. Elle ne le maîtrise pas encore très bien et, quand se rend dans un bassin, chloré doux ou salé, elle a toujours la crainte de se transformer en bête hideue des profondeurs, poisseuse et gluante. La jeune fille va régulierement a la piscine pour s'entraîner a la nage, pour gagner en puissance et en vitesse dans ses mouvements. Elle n'aime pas qu'ont l'observe sous sa forme aquatique. Elle a toujours eu honte de cette queue de poisson mais ça s'améliore: elle est juste génée.
Sous la pluit, sa peau se transforme en écaille translucides, teintant sur le bleu azur, au endroit ou les gouttes l'ont touchée. Ce pouvoir ne lui sert pour l'instant pas a grand chose mais elle s'entraîne dur pour pouvoir maîtriser tout les aspects et toutes les facettes de ce don.
A chaque immersion totale, la jeune fille subis une transforation parfois radicale. Et quand elle ressort, elle tremble et vacille. Elle n'est pas bourrée non, elle subit juste le contre-coup de sa métamorphose.

derrière l'écran se cache...

« scintillante pixellisation »

• PRÉNOM ou PSEUDO Baibie. • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS J'immagine que décrire le temps qu'il fait dehors est plus facile. Vous ne trouvez pas? :3 • PARRAINÉ ? Oui! Par Gougeule! 8D • DOUBLE COMPTE ? nop • CODE ? Right ! Haine accepte cette bonne réponse ~ • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE GO TO ZE SWIMMING POULE //PAN//