On dit que les cygnes ne chantent qu'à l'aube de leur mort.~

feat - Sheryl Nome | Macross Frontier

• NOM Dimitrostov. • PRÉNOM(S) Gabrielle, Vanille. • AGE 18 ans. • CIVILITÉ Célibataire. • SCOLARITÉ 1ère année. • SEXUALITÉ Bisexuelle. • GROUPE The Jokers. • POUVOIRDon Musical.

ma poire belle Hélène

« Parait que t'étais une Princesse... Moi je n'en n'ai jamais connue. ♪ »

Jusqu'à ses 15 ans, Gabrielle n'avait jamais fait grande attention à son physique. Elle avait l'habitude de privilégier le confort au beau, et ses tenues vestimentaires en étaient la preuves : jean souvent trop larges, des débardeurs délavés et deux tailles au dessus de la siennes, des vieilles baskets ou converses parfois trouées, et en guise de sous-vêtements des boxer ou caleçon d'homme avec des brassières tenant bien sa poitrine pour qu'elle puisse courir en toute liberté. Quant à ses cheveux, longs et blonds, qu'elle avait l'interdiction formelle de couper, elle les attachaient en queue de cheval désordonnée. Voilà, c'était Gabrielle il y a trois ans. Un véritable garçon manqué, de par son look et ses fréquentations -uniquement des garçons. D'ailleurs, tous ses amis l'appelait Gabriel à cette époque.
Ce qui avait provoqué ce changement ? C'était simple, et compliqué à la fois, faut dire aussi que tout était arrivé si vite : a 16 ans elle s'était fait mettre à la porte par ses parents, et peu de temps après avait découvert son don. Il lui fallait bien gagner de l'argent alors elle s'était servie de son don pour chanter dans des bars. Seulement, il lui avait fallut changer de style vestimentaire, sinon les patrons l'acceptait rarement... Ce n'était pas bon pour l'image.
De ce fait, Gabriel se transforma en Gabrielle. Elle prit l'habitude de s'habiller plus de manière féminine.. Et au final dut bien avouer que cela lui plaisait. Au jour d'aujourd'hui, Gabrielle adore se comporter de façon coquette lorsqu'elle doit sortir, et ayant remarqué que ce genre de chose est un atout avec les hommes (et les femmes) elle n'hésite pas à jouer le grand jeu quand l'occasion se présente. Au quotidien cependant, elle reste assez soft, mais se lâche au niveau des chaussures à talons, son péché mignon.
En revanche dès qu'elle est chez elle, Gabriel revient dans la place et elle retrouve ses vieux jeans et débardeurs. De plus, le look de la jeune fille est un bon moyen de savoir de quelle humeur elle est. Si elle est de bonne humeur, joyeuse, heureuse, elle sera "Gabrielle". Dans le cas contraire, elle sera "Gabriel". Cela pourrait la faire passer pour quelqu'un ayant des troubles bipolaires ou schizophrènes mais ce n'est pas le cas, elle est juste un peu spéciale.
La seule chose qui ne change pas entre Gabrielle et Gabriel, ce sont les yeux. Grands, bordés de cils foncés, d'un bleu parfois turquoise, ou alors plus sombre suivant la lumière, mais toujours limpide.
Les yeux sont la fenêtre de l'âme.

mylife.com

« Ils me mettront au fond du trou une balle dans la tête, putain ça sera pas pire que mon putain de quotidien. ♪ »

A bien des égards,Gabrielle est une personne simple. Pas prétentieuse pour un sous alors qu'elle le pourrait vu son physique et sa voix, elle est même très modeste et rougit au moindre compliment, baissant les yeux sur le côté avec un petit sourire gêné. Oui, Gabrielle est un peu timide, mais en public et quand elle ne connaît pas les gens autour d'elle sa timidité se traduit par une certaine froideur et insensibilité, ce qui la fait souvent passer pour ce qu'elle n'est pas. Mais ça, Gabrielle s'en fiche bien, il n'y a pas de place dans sa vie pour les gens qui jugent sur les apparences et au premier abord.
En réalité, pour vraiment connaître Gabrielle il faut l'avoir vu en "privé", car qui se douterait que derrière cette jolie et coquette jeune fille se cache un petit brin d'homme qui adore se vautrer dans le canapé pour regarder la téloche en compagnie de son meilleur compagnon clope-pizza-bière ? Dans ce genre de moment, Gabrielle est un vrai bonhomme et on comprends mieux l'utilisation de "Gabriel" par certains.
Côté qualité, Gabrielle est quelqu'un de généreux, d'attentifs, qui fera passer toujours le bien des autres avant le sien. Amusante, elle possède beaucoup d'humour. Elle s'attache facilement et avec force à certaines personnes, ce qui lui vaut parfois d'être un peu collante, mais ce n'est pas voulu, c'est simplement sa phobie de l'abandon qui la pousse à agir ainsi. Et qui la fait être parfois jalouse. Sa jalousie maladive, Gabrielle en connait bien les désagréments, elle sait pertinemment que cela n'est jamais apprécié, alors quand elle est jalouse, elle garde cela pour elle, toujours, encore et encore. Evidemment cela n'est pas bon pour elle, mais elle préfère pleurer en silence que de gâcher sa relation avec quelqu'un pour une jalousie excessive qui n'as pas lieu d'être. De ce point de vue, Gabrielle est en quelque sorte une martyre, de ceux qui souffrent en silence et ne se plaignent jamais.

Si Gabrielle aime facilement, elle a aussi un bon caractère rancunier et bagarreur. Elle ne cautionnera pas qu'on insulte ou fasse du mal à quelqu'un qu'elle apprécie, de plus qu'elle n'accepte pas la méchanceté gratuite, le racisme et la discrimination... Plus d'une fois, par son impulsivité et sa fougue dans des situations délicates, Gabrielle s'est retrouvée embarquée dans des bagarres. Notamment un soir d'hiver à la sortie d'un bar, qui eut des conséquences désastreuses : le type mécontent de l'attitude de Gabrielle était revenu le lendemain avec des amis à lui. Ils avaient attendus que la jeune fille ait fini son service du soir -ses chansons- et l'avaient coincée dans une ruelle où ils lui avaient ôté sa première fois, et lui avait offert en échange une jolie cicatrice de 25 cm lui barrant l'abdomen lorsqu'elle avait voulue se débattre. C'est peu après cet incident qu'elle avait décidé de venir a Aomori dont elle avait entendu parler quelques semaines auparavant.

PÈRE CASTOR ♪

« Qu'un jour on s'est aimés, et que ce jour n'est plus qu'une postérité, noyée dans l'inconnu. ♪ »

Emilie Fontaine et Anton Dimitrostov se sont rencontrés aux ages respectifs de 30 et 34 ans. Tous deux seuls, tous deux sans famille. Ils n'en fallut pas plus pour que les "jeunes" gens tombent amoureux. L'amour va bien à certaines personnes, pas eux. Ils firent un enfant avant qu'il soit trop tard, ils firent un enfant pour le principe d'en faire un. L'amour rendit Emilie aigrie, et Anton violent. L'amour donna la vie à une fillette qui s'en serait bien passé à vrai dire.
Gabrielle vit le jour un 24 décembre. Sa mère était ivre, elle voulait absolument l'appeler Vanille. Son père, trouvant ça ridicule, s'occupa des papiers du nom et l'appela Gabrielle -mais consentit à mettre Vanille en second prénom sinon Emilie demandait le divorce en beuglant.
L'enfance de Gabrielle ne fut pas des plus roses, mais il y avait pire quand même. A vrai dire, dès qu'elle fut en âge de se débrouiller seule, c'est comme si elle avait cessé d'exister pour ses parents. Elle traînait n'importe où, avec n'importe qui, et d'un côté cela lui plaisait quand elle voyait les filles de son âge, tellement superficielles dans leur caractère... Le meilleur ami de Gabrielle se nommait Axel, elle l'avait rencontré à 8 ans et pendant presque dix ans, ils étaient comme cul et chemise. C'est lui qui lui appris à pécher, à grimper dans les arbres, qui lui fit fumer sa première cigarette, qui lui appris comment embrasser "Au cas où !"... Et ce fut lui qui accueillie Gabrielle chez ses parents quand elle se fut mettre à la porte quand elle avait 16 ans.


F.B ON.
Il était tard, plus de 23h30, mais Gabrielle n'avait pas vu le temps passer alors qu'elle se baladait avec Axel et sa bande de pote dans le parc non loin de chez elle. Ils avaient écouté de la musique, avaient forcés Gabrielle à chanter de sa voix de dragon enroué comme ils l’appelaient gentiment -elle avait toujours chanté horriblement mal, avaient but quelques bières, et puis elle avait remarqué l'heure. Disant au revoir à ses copains, elle avait ensuite couru pour rentrer chez elle. Si ses parents faisaient comme si elle n'existait pas, si elle rentrait trop tard le soir sa mère était ivre tout comme son père, et elle en avait marre de devoir mentir aux copains à propos des bleus sur ses bras et son dos...
Arrivée sur le perron, la jeune adolescente inspira doucement pour reprendre son souffle et ouvrir doucement la porte. A peine eut elle mis un pieds à l’intérieur qu'elle reçut une gifle monumentale et s'effondra contre le meubles à chaussures dont elle heurta le coin, saignant de l'arcade.

- C'est maintenant que tu rentres espèce de traînée !
- M-maman... J'avais pas vu l'heure je suis déso...

Le souffle coupé par un coup de pied dans le ventre, Gabrielle ne put continuer et s'étouffa pendant quelques instants tandis que son père débarquait, toujours bâtit comme une armoire -normal, pour un ancien boxeur.

- Qu'est-ce qu'il se passe Emilie ?
- C'est ta putain de fille ! Elle a encore passée sa soirée à baiser j'en suis sûre ! Ça doit bien l'amuser de se faire sauter par tous ses petits copains là !
- C'est faux ! Je n'ai jamais couché avec quelqu'un ! répliqua Gabrielle en se protégeant instinctivement avec ses bras, dans l'attente d'un autre coup qui ne venait pas. Emmène moi chez un gynécologue pour vérifier si tu ne me crois pas !

A ces mots, son père éclata de rire et attrapa Gabrielle par les cheveux pour la soulever brusquement, son visage et son haleine puant le whisky à quelques centimètres du sien :

- Tu crois qu'on dépense pas assez de fric comme ça pour ta petite gueule de pute ? On va pas encore raquer pour une gosse comme toi qui fous rien de sa vie à part se faire four...
- C'EST FAUX ! finit par craquer la jeune adolescente.

Grossière erreur, mais elle n'avait pas put s'en empêcher. Après un coup de poing violent qui atterrit sur son nez dans un "crac" effroyable et une cascade de sang, son géniteur ouvrit la porte et la balança sur le trottoir avant de refermer derrière lui en beuglant :

- ON NE VEUX PAS DE TRAÎNÉE DANS CETTE BARAQUE !F.B OFF.

Cette nuit fut la dernière fois où Gabrielle vit ses parents. Après s'être faite littéralement jetée dehors, Gabrielle avait erré pendant quelques heures avant de se résigner à se rendre chez Axel. Ce dernier et sa mère avec qui il vivait seul depuis le décès de son père, s'occupèrent de la jeune adolescente avec une tendresse qu'elle n'avait jamais connu, lui tirant un torrent de larmes. Cette nuit, au fond d'elle, c'était comme si quelque chose de brisé depuis qu'elle était née, se réparait doucement avec la force de ses larmes. Alors qu'elle avait toujours eut cette gêne, cette boule dans la gorge au quotidien, elle se réveilla le lendemain... Soulagée, libre.
Ce n'est que quelques jours plus tard qu'elle se rendit compte de ce qu'était cette sensation étrange de légèreté. Axel avait reçut sa dernière console de jeu, avec un karaoké et Gabrielle, pour amuser la galerie de sa voix de dragon cancéreux, avait pris le micro avec entrain. Ce jour là, personne ne se moqua gentiment d'elle. La jeune fille avait chanté avec un talent de diva, avec une voix parfaite, un peu grave, mais sublime. Ses potes laissèrent alors le surnom de dragon ayant avalé un chevalier de travers, pour l'appeler gentiment La Petite Sirène, s'amusant alors de voir leur amie rougir et détourner le regard.. Tout en leur assénant une claque dans le dos.
Gabrielle profita de ce don qui lui avait été donné du jour au lendemain pour gagner de l'argent et proposa à des patrons de bar, de salon de thé, de restaurant, de chanter dans leur établissement quelques soirs.

Alors qu'elle faisait son service habituel et prenait une pause pour boire un coup, un client vint la voir et sans un mot, lui tendit une sorte de brochure. Elle ne la lue qu'une fois rentrée chez Axel. Le papier parlait d'une école, pour ceux qui avaient obtenus des dons spéciaux... Haussant les épaules, elle s'était endormie en pensant qu'elle n'avait pas forcément besoin de cela, qu'elle était très bien là où elle vivait.
Malheureusement, une agression à la sortie du bar un soir ne fit que la plonger dans une profonde dépression. Elle avait peur de mettre le pied dehors et restait au lit toute la journée. Axel, s'inquiétant pour son amie, finit à bout de centaines d'arguments par la convaincre d'aller dans cet établissement nommé Aomori -il avait vu la brochure traîner et savait que cela ferait du bien à Gabrielle.

C'est ainsi que la jeune femme, âgée maintenant de 18 ans, fit ses premiers pas à Aomori.

SO AWESOME

« Salut, toi l'étoile filante... ♪ »

Au départ, Gabrielle ne se rendit pas compte du pouvoir que possédait sa voix. Certes, elle arrivait à chanter plus juste que personne, elle arrivait à descendre dans des tons plus graves ou à monter dans des notes plus aiguës que quiconque, mais cela n'allait pas plus loin que cela.
Ce ne fut que quelques semaines après qu'elle fit la découverte du vrai pouvoir de son don. Grâce à sa voix, a ses chansons, elle arrivait à faire s'émouvoir les gens. Ils pouvaient rire, pleurer, ou même s'endormir comme des bébés.
Si chanter pour chanter ne lui demande aucun effort et qu'elle fait cela naturellement, chanter pour faire passer des émotions -ce qui est en un sens le but de la musique et de la chanson- demande de gros efforts à la jeune femme. Pour le moment, ce qu'elle arrive le mieux à faire passer aux gens, c'est la douleur, peut être parce que c'est ce qui tapissa le plus sa vie jusqu'à présent. Elle a beaucoup de mal à faire sourire les gens ou à les faire rire. Et encore, lorsqu'elle arrive à faire ressentir sa douleur à quelqu'un cela l'épuise beaucoup, et elle doit dormir au moins trois heures ensuite. D'ailleurs, elle ne peut faire cela que sur une seule personne à la voix, et la durée ne doit pas dépasser 10 minutes consécutives ou 45 minutes entrecoupées.
Gabrielle espère qu'à Aomori elle pourra apprendre à mieux se servir de ce don...

derrière l'écran se cache...

« PAN ! Tay mort :B »

• PRÉNOM ou PSEUDO Rory ~ • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS 19 ans - Cosplayeuse débutante. • PARRAINÉ ? (si oui, par qui ?) Nope :B • DOUBLE COMPTE ? (si oui: nom et prénom) Non plus. • CODE ? Oh yeah ♥ Hikari • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE Tu veux un Kaktus bleu ?