le petit oiseau va sortir ~

feat - Sakura Haruno / Naruto

• NOM Terashima • PRÉNOM June • AGE 18 ans • CIVILITÉ Célibataire • SCOLARITÉ 1ère année • SEXUALITÉ Hétérosexuelle • GROUPE Heart's key • POUVOIR Audition décuplée

Il était une fois

« une jolie princesse aux cheveux rose »

June peut être décrite physiquement par une couleur : le rose. La jeune fille possède en effet de magnifique cheveux rose bonbon qu'elle laisse tomber en cascade dans son dos. Depuis qu'elle possède cette couleur de cheveux plutôt originale, elle a eu le droit a de nombreux surnoms plus ou moins amicaux, mais il est préférable pour tous de ne pas les utiliser et surtout, ne jamais lui demander sa couleur naturelle, jamais. La deuxième couleur qui va bien à June après le rose est le vert, le vert émeraude pour être plus précis. Cette belle couleur qui est présente dans ses prunelles est une fierté des membres de la famille Terashima depuis de nombreuses années. Ces deux couleurs qui s'allient parfaitement sur la peau légèrement halée -due à ses origines de L.A., sont la fierté de la jeune femme. Avec son petit nez et sa bouche pulpeuse, June a de quoi rendre jalouse de nombreuses femmes, mais comme chaque personne sur cette Terre, elle s'est trouvée un défaut. Son front, son horrible front qu'elle trouve beaucoup trop grand et l'un de ses plus grands complexe de toujours. Petite, elle passait son temps à le cacher sous une frange, mais elle le laisse désormais, essayant d'assumer au maximum ce front que tous s'amusaient à critiquer. Pourtant, elle est bien trop jolie, June. Avec sa petite taille qu'elle tient de sa mère japonaise et ses formes un peu trop généreuses qu'elle tient de sa grand-mère paternelle, une femme un peu exubérante qui n'a rien connue d'autre que la vie qu'offre Los Angeles.
Avec cette plastique, on peut imaginer une fille qui a peur de se caser un ongle et qui adore passer des heures à faire les boutiques, mais ce serait ne pas la connaître. June se maquille, oui, mais pas comme un camion volé. Elle ne change jamais son maquillage, un trait d'eye-liner fin et du mascara afin de faire ressortir ses yeux et pourquoi pas, du rouge à lèvre de temps en temps. Pour ce qui est des vêtements, sa tenue préférée est un slim noir avec un débardeur blanc et des bottines à talon afin de gagner quelques centimètres, elle n'a rien des jeunes filles qui portant trop vulgairement leur uniforme scolaire. Oui, June porte du court, des short et des jupes un peu trop court d'après certains, mais ça, c'est carelle ne complexe pas sur ses jambes. Elle les trouve fine, alors elle peut se permettre de les mettre en valeur, tant qu'elle ne ressemble pas aux filles en chaleurs des écoles.
Puis de toute façon, le concept du style vestimentaire n'est pas compréhensible pour June, elle ne se collera plus jamais d'étiquette comme dans son passé...

derrière ses bonnes manières

« se cachait une rebelle au coeur tendre »

Le caractère de la jeune Terashima est bien difficile à comprendre. Depuis son plus jeune âge, ses parents lui ont appris à être polie et respectueuse, mais tout changea bien rapidement. Dès que ses parents ont divorcé et que sa mère est partie sans se retourner, June a fait naître en elle une deuxième personnalité. Étouffant toute sa retenue et son beau sourire polis, elle est devenue une caricature parfaite de la jeune japonaise rebelle qui ne va plus en cours. June est très franche, elle n'hésitera jamais à dire tout haut ce que tous pensent tout bas, mais cela ne l'empêche pas d'être gentille. Assez exubérante, elle n'hésite jamais à sauter sur les gens qu'elle apprécie et à rire de toutes les blagues. Seulement, derrière ses apparences qui font croire qu'elle ne fait que se donner un genre, il faut se méfier, elle sait très bien se battre et n'hésite pas à utiliser ses points. Enfin, méfiance aux dragueurs un peu lourd, elle ne se laisse pas avoir par n'importe quel garçon, mais elle n'hésite tout de même pas à embrasser les garçons, souvent pour les dérouter.

Elle déteste toute forme d'autorité, même si elle venait d'une famille plutôt modeste, voir même pauvre, dès qu'elle est entrée dans l'adolescence elle n'a plus supporter toutes les règles de bonne conduite. Elle est le genre de fille à toujours avoir besoin d'être libre, même si elle doit sortir au beau milieu d'un cours pour aller fumer sa cigarette.
Son don n'a pas vraiment changé ses relations avec les personnes, mais si quelqu'un parle sur son dos, elle risque de l'entendre. Malgré que cela pourrait être difficile, elle adore cela. Grâce à son audition décuplée, elle sait d'entouré de personne qui n'iront pas parler d'elle. Au final, il n'est pas si nul que ça, ce don. Hormis les maux de crâne.

Dans son château de bois

« elle rêvait d'une vie remplie d'or »

DEAR DIARY - 28 August

C'est officiel, je suis entrée dans un gang de Yankee qui est assez bien réputé dans un quartier de la ville. Même si mon acte paraît immature, ça va m'occuper un peu ma vie. J'en ai marre de supporter mon père qui passe ses journées sur le sofa, à observer des émissions aussi idiotes les unes que les autres, puis ma mère ne reviendra jamais, je me suis faite une raison.
Une fille de mon école m'a remarquée et m'a demandée pourquoi je traînais avec des gens qui n'avaient aucun avenir, pourquoi je ne retourne pas étudier, mais cette idiote ne sait rien, elle ne sait pas ce que ça fait d'être encore plus étranges, plus anormale que les déchets de notre société. J'ai passé mon chemin, de toute façon, cela faisait longtemps que j'avais arrêtée d'aller en cours. Demain, je dois rejoindre les filles, mes sois disant « nouvelles amies ». Un groupe plutôt gênant essaie de leur piquer la vedette, on va bien voir si je sais me battre.

DEAR DIARY - 15 November

Plus le temps passe et plus j'apprends à utiliser mon pouvoir. Il m'est utile afin de savoir ce que font les nanas avec qui on se bat et je suis plutôt douée. Avant hier, alors que je me promenais avec une nouvelle, un mec a détaller avec ses potes en hurlant « Sakurairo ». Je ne sais pas si c'est parce que j'avais mon uniforme de Yankee ou autre chose, mais je crois que mes exploit grâce à mon don commencent à me faire connaître, on me refile même toutes les nouvelles pour qu'elles voient comment on se défend.
Quand j'écris dans ce journal, j'ai l'impression de te parler, Hiro. Je me demande si tu étais heureux de voir comment je suis devenue, à me battre à sang avec des nanas qui ne savent même pas encore comment on fait les bébés. Tu me dirais sans doute que je ne suis qu'une idiote et que je ne mérite pas d'être ta jolie princesse, puis tu rirais et me dirait que de toute façon, je n'en fais toujours qu'à ma tête.

DEAR DIARY - 8 January

Papa veut retourner à L.A., il s'est rendu compte que maman ne reviendras jamais et que toi, tu as refait ta vie. Moi, je m'y suis opposée, je ne veux pas partir dans une ville que je ne connais pas, alors qu'ici tous me connaissent. Je sais que papa à honte de moi, il a honte d'avoir une fille qui passe son temps dehors à se battre ou à fumer avec des filles étranges. Je lui ai dit qu'il n'avait aucun ordre à me donner, il ne s'est plus occupé de moi depuis mes quatorze ans, depuis que maman et toi, vous êtes partis. J'ai l'impression que tout s'effondre à chaque fois que je commence à aller mieux. Vous partez, je me reprends. Papa va mal, je me reprends. Je découvre que je suis anormale, je me reprends. Seulement, dans toute cette histoire, je ne sais pas si être une Yankee est bien ou mal. Tu le sais, toi, Hiro ? Est-ce que c'est bien que toute la ville me connaisse, sous Sakurairo, seulement car, je suis une gamine qui sait bien se battre ? En deux ans, je n'ai pourtant jamais eu autant l'impression d'exister qu'en ce moment.

DEAR DIARY - 19 April

Papa s'est fait une raison, il ne reverra jamais le sol de L.A., du moins pas avec moi. Il a beau me demander d'arrêter d'être une Yankee, de retourner en cours, je ne l'écoute pas. Je ne peux pas passer mes journées dans une école, où je n'arriverais pas à contrôler mon dons comme avant. Mes maux de crânes, toutes ces choses que j'entendais sans le vouloir, je ne peux plus le supporter. Ça me brise de savoir tout ce que ces gamins racontent derrières les autres, ces idiots ne doivent pas se rendre compte de ce qu'ils disent. Heureusement, j'essaie de survivre et les Yankee, c'est ma survie à moi. Ta survie à toi, maintenant, c'est quoi ? Certainement pas la famille.

DEAR DIARY - 17 June

Aujourd'hui, j'ai dix-sept ans. Je n'ai eu aucun cadeau, juste une petite embrouilles avec une salope qui à osée critiquer mes cheveux -et le mot salope est faible. Tu aurais honte de moi Hiro, moi-même je me demande si mon choix d'entrer dans ce groupe de nanas était une bonne idée. Hormis une cicatrice dans mon bas du ventre, qu'est ce qu'elle m'ont offerte ? Quelques bouffées d'oxygènes, sans doute.
En réalité, si je pense à ça, c'est car j'ai rencontrée un garçon. Il s'appelle Senri et pour la première fois, je me suis dit d'un homme qu'il était beau. J’étaie épuisée et un groupe de filles me courraient après, mais il m'a aidé. Il m'a sauvé et m'a même offert un chocolat chaud, en échange de réponse à ses questions. Pour la première fois depuis le divorce de papa et maman, depuis ton départ, j'ai eu l'impression de ne plus être qu'une fille qui se cache derrière un surnom de fille de gang.

DEAR DIARY - 07 July

Happy Birthday à toi mon grand-frère. Profite bien de tes vingt-sept ans, Hiro.

DEAR DIARY - 10 September

J'ai quitté les filles, Senri m'en a donné la force. Bien sûr, elles étaient énervées et je me suis faite tabassée, je sors de deux semaines à l'hôpital, mais je vais bien. Papa est venus me voir, je crois que nos rapports se sont améliorés, légèrement. Senri était toujours avec moi, en trois mois, il est devenu un ami très important pour moi. J'ai aussi appris beaucoup de chose sur lui, il est fils unique et son père est un riche homme d'affaire, je me disais bien qu'il était un peu trop polis pour être un simple garçon de vingt ans.
En parlant de toi à Senri, je me suis rendu compte que je voulais savoir ce que tu était devenu. Tu me manques énormément et je t'en veux d'être partis, mais j'aimerais savoir qu'à tu fais de ta vie. Tu est peut être marié, je suis même peux être tata sans le savoir, qui sait ? Mais si c'était le cas, j'aimerais bien être mise au courant, que tu viennes nous revoir moi et papa. On est jamais partis de cette maison ...

DEAR DIARY - 7 September, one year later

Senri est parti, il n'a pas eu le choix. Son père avait terriblement besoin de lui au Canada, pour s'occuper de son entreprise, c'est la crise partout en ce moment. Je sais très bien que ça fait un an que je ne t'ai pas écrits, mais j'étaie très occupées. Je travaille dans un petit magasin, afin d'aider papa à payer les factures, l'école ne voulait pas me reprendre. Durant cette année, ma relation avec Senri a évolué et j'ai enfin pus connaître l'amour, même si on doit désormais se séparer. J'ai réussi à lui dire, lui dire pourquoi je me sentais si différente, pourquoi j'avais eu tant de mal à rester à l'école avant de la quitter. Je lui ai avoué que j'avais une audition décuplée. Au début, il était réticent, mais il m'a crus et il en a eu la preuve plus tard. Il me répétait sans cesse qu'il était heureux pour moi et que je devais être fière d'être différente, surtout maintenant que je savais stopper ce don et ne pas entendre tout ce qui se passait. J'arrive à revivre enfin.
Seulement, Senri est partit, à l'autre bout du monde et j'ai l'impression que même si on s'est séparé comme si nous nous retrouvions demain, tout sera bien différent. Aujourd'hui, je suis célibataire, mais pas désespérée. J'ai reçu une lettre, Hiro. Une lettre d'un pensionnat à l'autre bout du pays, qui se dit être un pensionnat spécialisé pour les gens comme moi. Grâce à ce pensionnat, je pourrais reprendre mes études et même rencontrer des personnes qui, comme moi, sont anormaux.

DEAR DIARY - 10 September

C'est officiel, je suis inscrite pour le pensionnat Aomori. Je pars demain, très tôt. Mes bagages sont déjà prêts et j'ai donné ma démission à mon boulot. Grâce à ce pensionnat, je pourrais reprendre mes études et apprendre à contrôler mon don. Même si je suis terriblement stressée, je sais que j'arriverais à bien m'adapter, même si mes habitudes de Yankee ne me quitteront pas de si tôt - mais ça fait mon charme, n'est-ce pas grand-frère ?

et elle cachait dans son coeur

« un secret gros comme son royaume »

June possède une audition décuplée, elle peut entendre des bruits qui devraient être imperceptible pour l'oreille humaine. D'abord difficile à contrôler, son don lui provoquait d'affreux maux de crâne et dès qu'elle ne s'enfermait pas dans sa chambre, elle devait porter un casque et mettre de la musique le plus fort possible. Lorsqu'elle est devenue une Yankee, elle à remarqué qu'elle pouvait entendre chaque geste des personnes et elle s'est donc servie de son don pour se battre, devinant ainsi les gestes de tous.
Même si elle ne contrôle pas encore son don, elle peut aujourd'hui le « stopper » temporairement, il suffit qu'elle arrive à se focaliser sur un son pour en oublier tous les autres, même s'il lui arrive encore d'entendre des centaines de sons plus désagréable les uns que les autres.

Sauf que derrière cette princesse

« y'a une ado complètement nolife et un peu folle ~ »

• PRÉNOM Superwoman /SBAFF/ • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS La fille qui passe son heure de Maths au fond de la salle à rire, c'est moi ;w; • PARRAINÉ ? Nop ! • DOUBLE COMPTE ? Nop x2 • CODE ? Okay by Shigeru • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE